Article d’Icaros d’Essentiel News
Le groupe scientifique suisse WIR vient de déposer une plainte pénale contre Albert Rösti, conseiller fédéral suisse et chef du département fédéral de l’environnement, des transports, de l’énergie et de la communication (DETEC), et contre Yves Bichsel, secrétaire général de ce même département.
L’objet de la plainte: leur «omission négligente ou intentionnelle en rapport avec une situation dangereuse aiguë» concernant des épandages d’avion liés à la géoingéniérie, et résultant en des polymères filamenteux hautement toxiques qui auraient été retrouvés partout sur le territoire.
Selon les analyses scientifiques des plaignants, ces filaments seraient composés de nanofibres de polyamide qui libèrent des produits chimiques hautement toxiques qui polluent l’environnement et que les populations finissent par inhaler.
Scientifiques suisses
L’association scientifique suisse WIR a produit un rapport rigoureux et circonstancié corroborant ses accusations, et le phénomène observé.
L’étude de près de deux ans, impliquant des analyses approfondies en laboratoire, établit les conclusions suivantes: des fibres artificielles découvertes à travers l’Europe (et le monde) contenant plus de 30 composés chimiques différents, dont beaucoup sont dangereux, notamment des hydrocarbures toxiques, des dérivés du benzène, des époxydes et des dérivés de l’histamine, ne sont pas d’origine naturelle.
Elles sont au contraire le fruit d’un «programme de modification environnementale dangereux et non pacifique.»
La vidéo suivante (en allemand) est une interview par Hoch2 TV des principaux protagonistes de l’équipe scientifique WIR, qui présente ses résultats (pour activer les sous-titres en français, cliquer sur la roue en bas à droite, puis subtitles puis french) :
La vidéo suivante est un exposé plus détaillé (en anglais) de la même équipe scientifique (vidéo originale publiée sur le compte Substack de la journaliste Reinette Senum le 22 janvier 2025).
Clifford Carnicom
Depuis plus de 25 ans, le chercheur indépendant Clifford Carnicom mène des investigations approfondies sur des phénomènes environnementaux et biologiques qui, selon lui, échappent au regard du grand public et des autorités sanitaires.
À travers ses études minutieuses, il a lui aussi démontré l’existence de filaments non naturels, des structures microscopiques à la frontière du biologique et du synthétique, retrouvées aussi bien dans l’atmosphère que dans le corps humain.
Son travail a cela d’intéressant qu’il corrobore les découvertes des chercheurs suisses, tout en allant beaucoup plus loin dans les conclusions.
Ces fibres étranges, selon Carnicom, ne sont ni accidentelles ni naturelles, mais résulteraient d’un processus de bio-ingénierie à grande échelle, lié aux programmes de géoingénierie et à la diffusion d’aérosols atmosphériques. Ses analyses révèlent une composition inédite, mêlant polymères artificiels, métaux lourds et biomolécules vivantes, suggérant l’introduction d’une nouvelle biologie synthétique dans notre environnement.
Malgré le caractère sensible et controversé de ses travaux, les découvertes de Carnicom interpellent: comment ces filaments se forment-ils? Pourquoi sont-ils retrouvés partout sur Terre? Et surtout, quelles en sont les conséquences sur la santé humaine et les écosystèmes?
Derrière cette enquête scientifique qui pourrait ressembler à un scénario de science-fiction, se cache une réalité bien tangible, documentée par des années de recherche et d’analyses rigoureuses. Dans la vidéo ci-dessous, doublée en français par Jeanne Traduction, Clifford Carnicom présente ses travaux et ses résultats, qui prennent, suite aux travaux de l’équipe WIR, un tout nouvel intérêt.
Synthèse de la vidéo
Nous résumons ci-dessous les éléments principaux à retenir des travaux de Clifford Carnicom présentés dans la vidéo extrêmement complète ci-dessus:
L’épandage aérien et ses implications environnementales:
- Clifford Carnicom décrit l’existence d’une opération d’épandage de particules fines dans l’atmosphère qui aurait commencé vers 1999.
- Il souligne que ces substances ne sont pas de simples traînées de condensation (contrails) mais plutôt des aérosols contenant des particules métalliques et biologiques.
- Parmi les éléments retrouvés, on note la présence d’aluminium, de baryum et d’autres composés métalliques.
- Ces particules influenceraient l’environnement, la météorologie et pourraient être utilisées à des fins électromagnétiques et militaires.
La découverte de filaments biologiques non naturels:
- Carnicom affirme avoir reçu des échantillons du monde entier contenant des fibres anormales.
- Ces fibres auraient été analysées et contiendraient des propriétés biologiques et métalliques.
- Il les associe à un processus de bio-ingénierie global, affectant les humains, les animaux et les plantes.
- Il fait également un lien entre ces fibres et la maladie des Morgellons, caractérisée par l’apparition de fibres sous la peau des personnes affectées.
Le lien avec la maladie des Morgellons:
- Carnicom soutient que la maladie des Morgellons est un phénomène systémique, et non une simple hallucination comme elle a été décrite par certaines institutions médicales.
- Il affirme que les personnes affectées souffrent d’une réaction du corps pour expulser des particules étrangères.
- Selon lui, cette maladie est en réalité une manifestation de la présence généralisée de bactéries interdomaine (CDB – Cross Domain Bacteria).
La transformation du sang humain:
- Lors de ses recherches, Carnicom a observé une coagulation inhabituelle du sang, bien avant la période Covid.
- Il indique que des phénomènes de coagulation massive se sont intensifiés après 2020.
- Il établit un lien entre ces observations et les injections Covid, bien qu’il insiste sur le fait que la modification du sang a commencé bien avant la pandémie.
- Il soutient que les caillots sanguins trouvés post-Covid possèdent une structure similaire aux fibres qu’il a étudiées dans l’environnement.
La biologie interdomaine et les nouvelles structures dans le corps:
- Carnicom a nommé l’organisme qu’il a découvert “bactérie interdomaine” (CDB) car il transcende les trois domaines de la vie (bactéries, archaea et eucaryotes).
- Il affirme que cette bactérie produit diverses substances inédites, notamment:
- Des protéines structurelles influençant la morphologie des êtres vivants.
- Des polymères ressemblant à du plastique, inhabituels dans un organisme naturel.
- Une forme de sang synthétique, capable de mimer les fonctions du sang humain.
Le lien avec la biotechnologie et la bio-ingénierie:
- Carnicom insiste sur le fait que ces découvertes ne sont pas accidentelles mais sont liées aux avancées en biologie synthétique.
- Il mentionne les recherches sur les bactéries modifiées pour produire de l’insuline comme un exemple de la capacité à transformer les organismes.
- Il fait également référence aux progrès en agriculture industrielle, suggérant que les polluants environnementaux et métaux lourds pourraient jouer un rôle dans la prolifération de ces nouvelles formes de vie.
L’ère Covid et l’accélération des phénomènes:
- Carnicom explique que son travail a pris une nouvelle direction à partir de 2020 avec l’apparition du Covid.
- Il note une augmentation des anomalies sanguines, ainsi qu’une censure accrue des discussions sur le sujet.
- Il critique la gestion de l’information et met en avant le contrôle exercé sur les scientifiques et médecins s’intéressant aux effets des injections.
- Il souligne que les phénomènes de coagulation massifs rapportés par les thanatopracteurs et médecins post-Covid ressemblent étrangement à ce qu’il a observé bien avant 2020.
Le rôle des cristaux biologiques et de l’électrochimie:
- L’un des aspects les plus troublants de ses recherches est la formation de cristaux biologiques dans les cultures de sang.
- Il explique que l’électrochimie joue un rôle majeur dans ces transformations.
- En appliquant de faibles courants électriques, il a observé une transformation complète du sang, le rendant méconnaissable.
- Il suggère que ces propriétés pourraient interagir avec des fréquences électromagnétiques, un domaine qui selon lui reste peu exploré par la communauté scientifique.
En synthèse:
- L’interview de Clifford Carnicom couvre plus de 25 ans de recherche sur la modification de l’environnement et du corps humain par des agents biologiques non naturels.
- Ses travaux suggèrent que nous assistons à une ingénierie biologique à grande échelle, influençant notre santé, notre environnement et notre biologie fondamentale.
- Il relie ses découvertes à la géoingénierie, aux injections Covid, et à l’évolution des technologies biomédicales.
- Selon lui, ces transformations sont conscientes et orchestrées, mais demeurent largement occultées par les institutions officielles.
Pour conclure
Les journalistes et rédacteurs d’Essentiel News n’ont pas la capacité ou la compétence de formellement établir le bien-fondé des recherches susmentionnées. Ainsi, nous nous en remettons à la sagacité et aux discernement de nos lecteurs.
Pourtant, on sait désormais au minimum que des chercheurs suisses ont en partie corroboré, par leur propre étude longue de 22 mois, les observations et conclusions du chercheur indépendant américain Clifford Carnicom, et qu’ils considèrent leurs résultats si sérieux qu’ils ont déposé une plainte pénale contre un conseiller fédéral et son secrétaire général.
Aller plus loin :
Le laboratoire Analytika en France a analysé des filaments aéroportés. Ses rapports y relatifs indiquent que la présence de nombreux composants toxiques est dorénavant avérée dans ces filaments synthétiques : perturbateurs endocriniens, aluminium, baryum, strontium, métaux lourds. Il déclare : “Cette nouvelle forme de pollution atmosphérique soulève une problématique de santé publique qui nécessite la réalisation rapide d’une étude plus approfondie de la part des autorités publiques”.
En France, l’ACSEIPICA, Association Citoyenne pour le Suivi, L’Étude et l’Information sur les Programmes d’Interventions Climatiques et Atmosphériques, et le CSAPE, Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens, ont interpellé les pouvoirs publics sur ce sujet de dérives expérimentales nuisibles dans une lettre constituant un préalable à toute procédure juridique.
Pétition de l’ACSEIPICA : Géoingéniérie: demande d’ouverture d’une Commission d’Enquête Parlementaire
Aujourd’hui on on commence à découvrir que 40% du plastique dispersé dans la nature provient des pneus des véhicules.
Tout pneus confondus, il y aurait une consommation annuelle de 1,5 milliards de pneus (véhicules légers à lourds).
Une bonne partie de ce matériau est soigneusement et lentement abrasé au cours de son usage en un nuage de nano-particules vraisemblablement assez toxique et hyper-volatile.
Apparemment personne ne sait vraiment où tout cela vient se déposer ou bien même reste indéfiniment en suspension quelque part dans la couche atmosphérique.
Personne ne veut parler de ces nano-particules qu’une voiture électrique produit 3 à 5 fois plus qu’une petite deux-chevaux… et pourtant elles me paraissent un candidat bien plus probable aux théories relativement fumeuses de réchauffement anthropique (les variations du soleil restant candidat numéro 1…) ou les théories assez étonnantes de ‘chemstrail’.
Merci pour ces bonnes et intelligentes réflexions. Effectivement l’on ne nous dit pas tout, et surtout, ne veulent pas que l’on sache ! L’état profond veille sur vous…
Au début du siècle dernier, s’apercevant que les pneus s’usaient trop rapidement, il a fallu remédier au problème et les chimistes se sont retroussés les manches sans penser aux conséquences.
Depuis Les années 85-90, je disais que la pollution dûe à l’usure des pneumatiques finirait un jour par surpasser le reste, chose faite. Nos chères têtes pensantes qui on un tiroir caisse a la place du cerveau, ils le savent depuis bien longtemps mais sont dans le déni total.
les pneumatiques c’est de caoutchouc mais pas que, de la silice, du noir de carbone, des résines polymère du vulcanisant contenant du souffre etc…
faites le calcul sur un siècle…
Merci pour ces bonnes et intelligentes réflexions. Effectivement l’on ne nous dit pas tout, et surtout, ne veulent pas que l’on sache ! L’état profond veille sur vous depuis déjà trois siècles…