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France: vaccin très risqué imposé aux élèves à la rentrée?

Macron annonce la généralisation du vaccin contre le papillomavirus dans les classes de 5e à la rentrée - malgré les effets graves et l'inefficacité constatés dans le monde.

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Par Xavier Bazin, journaliste scientifique

Emmanuel Macron a annoncé le 28 février la généralisation de campagnes de vaccination dans les collèges, contre les papillomavirus. C’est un très mauvais coup porté à nos enfants.

Voici le genre de scène que l’on risque de voir désormais régulièrement, en France :

C’était en novembre dernier, en Belgique : non seulement une vingtaine d’élèves sont tombés évanouis après le vaccin, mais d’autres ont souffert de maux de tête, de vertiges et d’états grippaux [1]. Une jeune fille a dû passer la nuit entière à l’hôpital.

C’était peut-être un «mauvais lot» de vaccins. Mais une semaine après, il s’est produit la même chose dans un autre collège belge [2].

«Toxicité effarante»

Le pire, c’est que ces réactions immédiates au vaccin ne sont pas le plus grave. Ces vaccins ont la capacité de briser des vies entières. Et je ne dis pas cela à la légère.

Les essais cliniques – qui constituent le meilleur standard de preuve scientifique – avaient révélé une toxicité effarante de ces vaccins anti-papillomavirus. Les jeunes filles vaccinées avaient 50 % de risque en plus de souffrir de «troubles graves du système nerveux» [3].

Au Danemark, des jeunes filles ont été officiellement indemnisées pour avoir eu leur vie anéantie par le vaccin : handicapées à vie, en fauteuil roulant, parfois criblées de douleurs [4].

Mêmes dégâts partout dans le monde

En France, des dizaines de jeunes filles, dont Océane Bourguignon, ont porté plainte pour les mêmes dégâts, mais le «big pharma» Merck et son armée d’avocats semblent avoir gagné la partie [5].

Partout, dans le monde, les mêmes dégâts ont été observés.

Au Japon, deux mois seulement après avoir lancé une campagne de vaccination massive, les autorités l’ont suspendue pendant près de 10 ans, au motif que les «informations communiquées au public sur les effets secondaires et les risques potentiels étaient insuffisantes au vu des faits notifiés.» [6]

En clair, de nombreux accidents vaccinaux inattendus se sont produits, avec notamment des «douleurs corporelles chroniques», et cela a conduit le Japon à arrêter les frais.

Grands procès cette année aux Etats-Unis

Aux États-Unis, de grands procès contre Merck auront lieu cette année, pour les dégâts causés par son vaccin, le Gardasil [7], notamment :

– Le syndrome de fatigue chronique (encéphalomyélite myalgique)
– Le syndrome de douleur régionale complexe
– L’insuffisance ovarienne prématurée
– La fibromyalgie
– L’intolérance orthostatique / le syndrome de tachycardie posturale

Et c’est ce vaccin-là qu’Emmanuel Macron veut généraliser. À l’école, en plus !

Le pire, c’est la justification qui a été avancée: l’objectif serait «d’éradiquer» le cancer du col de l’utérus !

Or, c’est tout simplement invraisemblable ! Déjà, éradiquer un virus, on ne sait pas faire (la variole étant une exception historique, et non la règle)… et on sait encore moins éradiquer un cancer, hélas !

Emmanuel Macron est manifestement DÉSINFORMÉ. Mais je ne suis pas surpris.

Car sur ce vaccin, la propagande médiatique fait rage, depuis quelques mois !

Éradication du cancer: l’incroyable fake news du journal Le Parisien:

J’ai d’abord cru que le laboratoire Merck (MSD) s’était acheté une pleine page de pub. Mais non… c’est bien un «article de presse», signé par un «journaliste» !

Il faut se pincer en lisant le sous-titre de l’article : «La France est très mauvaise élève dans la vaccination contre le virus responsable de ce cancer que d’autres pays ont réussi à éradiquer».

Quoi! Certains pays auraient réussi à éradiquer un cancer féminin ? Et en plus, on devrait cette révolution à un vaccin qui n’aurait «aucun effet indésirable inquiétant» (on a vu plus haut ce qu’il en était vraiment !)

Le problème, c’est qu’à peu près tout est faux, dans cet article. Non seulement il n’y a bien sûr pas eu la moindre «éradication» du cancer du col en Australie et en Suède…mais ces pays n’ont même pas connu une chute du nombre de cas [8]. En Suède, on observe plutôt une augmentation !

Si vous avez du mal à croire que des grands médias puissent vous berner ouvertement de la sorte, lisez la suite.

«Chute du nombre de cancers» ? Regardons les chiffres…

Prenons les données d’un site international reconnu, lié à OMS.

En Suède, les premières vaccinations de masse ont commencé en 2007. Les recommandations visaient les jeunes filles de 13 à 17 ans. Cela veut dire que la «toute première génération» partiellement vaccinée avait 27 ans tout au plus en 2017 (celles qui avaient 17 ans en 2007).

Sachant que les cancers du col de l’utérus sont rarissimes avant 25 ans, il est difficile de tirer la moindre conclusion solide de l’impact de cette première campagne de vaccination.

Regardons tout de même l’incidence du cancer du col de l’utérus en Suède, chez les jeunes femmes de moins de 29 ans :

Il n’y a absolument aucun «miracle» apparent lié à l’introduction du vaccin. L’augmentation du nombre de cancers du col s’est même plutôt accélérée après 2010 !

Mais on ne peut pas vraiment en conclure quoi que ce soit (à part, répétons-le, qu’il n’y a pas la moindre trace d’éradication).

Voyons maintenant l’Australie.

Là-bas, ils ont vacciné massivement les jeunes femmes jusqu’à 26 ans. Contrairement à la Suède qui s’est focalisée sur les moins de 17 ans, l’Australie a offert l’injection gratuite aux femmes de 18 à 26 ans, dès 2006.

Il faut donc regarder ce qui s’est passé pour les femmes de moins de 34 ans (les femmes les plus âgées de la cohorte vaccinée avaient 36 ans en 2016). En plus, on sait que plus de la moitié d’entre elles ont reçu au moins une dose du vaccin (et plus d’un tiers ont fait leurs 3 doses) [9].

Ce n’est pas rien. Si ces vaccins sont miraculeux, on devrait donc voir quelque chose ! Cette fois, on constate une légère diminution du nombre de cancers du col entre 2012 et 2016 :


Est-ce que c’est lié à la vaccination ? À autre chose ? Impossible de le dire. Surtout quand on voit la baisse des années 1990, sans vaccin. Dans tous les cas, on est loin, très loin, d’une «éradication».

Aucun signe positif clair pour le vaccin

En réalité, il n’y a aucun signal clair en faveur du vaccin, dans aucun pays. En Angleterre, par exemple, on vaccine les jeunes filles contre les papillomavirus depuis 2008.

Et voici l’évolution du nombre de cas de cancers du col chez les moins de 24 ans (regardez l’accélération de la hausse, de 2010 à 2017) :

Je ne dis pas que les vaccins ont causé cette accélération (quoi que je ne dise pas non plus le contraire, on n’en sait rien).

Mais une chose est absolument certaine :

NULLE PART, ON NE CONSTATE LE MOINDRE DÉBUT D’ÉRADICATION DU CANCER DU COL, NI MÊME DE BAISSE SIGNIFICATIVE DU NOMBRE DE CAS SUITE AUX CAMPAGNES DE VACCINATION.

Donc, l’article du Parisien est de la propagande pure et dure ! Et c’est probablement sur ce genre de «torchon» téléguidé par Big Pharma qu’Emmanuel Macron s’est appuyé pour prendre sa «décision» !

L’heure est grave. Les dégâts causés par les vaccins anti-Covid n’ont manifestement pas servi de leçon ! Si nous ne faisons rien, nous allons nous retrouver avec un nouveau vaccin généralisé ou «obligatoire» chaque année.

Transmettez cette lettre à tous vos contacts. Informez les parents d’enfants en âge de recevoir ce vaccin. De mon côté, je vous enverrai très bientôt d’autres éléments plus détaillés sur ces vaccins contre les papillomavirus.

Je vous expliquerai notamment que :

1. Il n’est pas démontré de façon parfaitement convaincante que les papillomavirus humains (HPV) soient une cause directe des cancers du col de l’utérus

2. Aucun essai clinique randomisé contre placebo n’a pu montrer l’efficacité du vaccin HPV pour éviter un seul cas de cancer du col de l’utérus ;

3. Le vaccin HPV est un vaccin génétique créé à partir de cellules génétiquement modifiées, avec des risques de contamination de l’ADN, pouvant occasionner cancers et maladies neuro-dégénératives ;

4. Le vaccin HPV contient de l’aluminium, une substance neurotoxique dont beaucoup de travaux pointent la dangerosité potentielle en tant qu’adjuvant vaccinal ;

5. En plus des effets neurologiques graves révélés par les essais cliniques, les vaccins HPV ont fait l’objet d’un nombre élevé et inattendu de signalements à la pharmacovigilance, y compris pour des effets indésirables graves, et notamment des décès.

Voilà pourquoi on ne peut pas rester les bras croisés, sans rien faire.

Xavier Bazin

auteur du livre Antivax toi-même, retrouvons un esprit critique sur la vaccination (éd.Trédaniel)

 

Sources

[1] https://www.sudinfo.be/id575877/article/2022-11-18/22-malaises-apres-un-vaccin-contre-le-papillomavirus-lathenee-de-morlanwelz
[2] https://www.dhnet.be/regions/centre/2022/12/01/malaises-suite-a-la-vaccination-contre-le-papillomavirus-a-morlanwelz-le-lot-de-vaccins-retire-du-marche-B32HLUK4MRBRVMDQHPU6NUTJGY/
[3] https://systematicreviewsjournal.biomedcentral.com/articles/10.1186/s13643-019-0983-y

[4] https://unterdiehaut.online/en/
[5] https://www.capital.fr/entreprises-marches/cancer-du-col-de-luterus-non-lieu-requis-pour-le-vaccin-gardasil-merck-colere-des-plaignantes-1399035
[6] https://www.slate.fr/life/74167/vaccin-japon-hpv
[7] https://childrenshealthdefense.org/defender/les-plaignants-attendent-leur-jour-au-tribunal-alors-que-le-comite-judiciaire-consolide-des-dizaines-de-proces-contre-le-vaccin-vph-gardasil-de-merck/?lang=fr
[8] Le début de l’article est déjà un peu plus modeste : «La disparition du cancer du col de l’utérus serait-elle une simple question de… volonté politique ? L’Australie et la Suède sont en tout cas en train d’en faire la démonstration. Après avoir massivement vacciné, dès 2006, les filles puis les garçons contre le papillomavirus, ces pays observent désormais une chute du nombre de cancer de l’utérus».
[9] https://www1.health.gov.au/internet/main/publishing.nsf/Content/cda-cdi3502k.htm