La fondation McCullough publie une revue de 300 études qui confirme le lien entre autisme et vaccination
L’étude « Determinants for Autism Spectrum Disorders » (Déterminants des troubles du spectre autistique) renverse 25 ans de mensonge et de doxa scientifique en cherchant à rouvrir le champ d’investigation sur les causes et les traitements de l’autisme. Cette revue de la littérature médicale se base sur de nombreux articles passés sous silence durant des décennies et inclut à la fois la question de la vaccination et d’autres facteurs comme la génétique, la toxicité environnementale ou les interventions périnatales.
Co-signée par une dizaine de scientifiques dont le Dr Andrew Wakefield, cette publication est en quelque sorte une revanche pour le médecin qui a été ostracisé par les communautés médicales et scientifiques durant des décennies. Mais elle est surtout porteuse d’espoir pour les familles à qui l’on dit que l’autisme est une fatalité génétique sans espoir de traitement.
Une cartographie jamais réalisée
Le rapport de Peter Mc Cullough et ses collègues propose de mettre côte à côte tous les déterminants possibles ayant été étudiés, en tenant compte des différents domaines de recherche tels que l’épidémiologie, les études cliniques, physiologiques, ou la biologie moléculaire.
Comme l’explique Nicolas Hulscher, épidémiologiste et administrateur de la Fondation McCullough, un des co-auteurs, dans un article qu’il publie sur sa page Twitter X:
En évaluant tous les facteurs de risque connus côte à côte, cette analyse clarifie de manière unique la contribution relative de la vaccination par rapport aux domaines génétiques et environnementaux. Aucune étude antérieure n’avait tenté cette approche intégrative sans exclure les études associant positivement la vaccination ou les contrôles des non vaccinés, une étape essentielle pour déterminer si les vaccins jouent réellement un rôle dans le risque d’autisme et, le cas échéant, quelle est l’importance de ce rôle dans le contexte causal plus large.
Les facteurs significatifs
Les déterminants les plus significatifs pour l’incidence de l’autisme avant l’âge de 9 ans relevés dans ce rapport sont les suivants:
- L’âge des parents, plus de 35 ans pour la mère et de 40 ans pour le père
- L’accouchement prématuré avant 37 semaines de gestation
- Les variantes génétiques courantes
- Les frères et sœurs autistes
- L’activation immunitaire maternelle
- L’exposition in utero à des médicaments
- Les toxines environnementales
- Les altérations de l’axe intestin-cerveau
- Les combinaison de vaccins infantiles de routine.
Ces divers facteurs génétiques, environnementaux et iatrogènes semblent se recouper à travers des voies communes de dérèglement immunitaire, de dysfonctionnement mitochondrial et de neuroinflammation, aboutissant à des lésions neurodéveloppementales et à une régression chez les enfants sensibles.
Le lien avec la vaccination
Sur les 136 études portant sur les vaccins infantiles ou leurs composants, 29 ont conclu à des risques neutres ou à l’absence de lien, tandis que 107 ont déduit un lien possible entre la vaccination ou les composants des vaccins et les troubles du spectre autistique (TSA) ou d’autres troubles neurodéveloppementaux (TND), sur la base de résultats épidémiologiques, cliniques, mécanistiques, neuropathologiques et de rapports de cas faisant état d’une régression du développement.
Douze études comparant des enfants ou des jeunes adultes ayant reçu une vaccination complète à des enfants ou des jeunes adultes non vaccinés ont systématiquement démontré que les non-vaccinés présentaient des résultats globaux supérieurs en matière de santé, notamment des risques nettement moins élevés de problèmes médicaux chroniques et de troubles neuropsychiatriques tels que les TSA.
Les articles ne relevant pas d’impact de la vaccination sont biaisés par l’absence d’un groupe témoin réellement non vacciné (avec une vaccination partielle ou non vérifiée, même parmi les personnes classées comme non vaccinées), ainsi que par des erreurs de classification dans les registres, des facteurs de confusion écologiques et des estimations statistiques qui masquent les effets au sein des sous-groupes vulnérables.
Seules quelques études de cas-témoins ont vérifié la vaccination à partir des dossiers médicaux ou des carnets de vaccination détenus par les parents, et aucune n’a procédé à des évaluations cliniques indépendantes des enfants pour détecter un TSA.
Les mécanismes en cause
En revanche, les études ayant mis en évidence une association positive ont trouvé à la fois des signaux démographiques (écologiques, de cohorte, cas-témoins, dose-réponse et regroupement temporel) et des résultats mécanistiques convergeant vers une plausibilité biologique: l’antigène, le conservateur et l’adjuvant (éthylmercure et aluminium) ont induit un dysfonctionnement mitochondrial et neuro-immunitaire, des lésions du système nerveux central et l’expression phénotypique naissante des TSA qui en résulte.
L’administration groupée de vaccins et l’exposition précoce pendant les périodes critiques du développement neurologique semblent augmenter le risque de TSA. Ces résultats vont de pair avec une augmentation forte et constante de l’exposition cumulative aux vaccins pendant la petite enfance et la prévalence rapportée de l’autisme dans les cohortes de naissances successives.
À ce jour, aucune étude n’a évalué la sécurité de l’ensemble du calendrier vaccinal pédiatrique cumulé sur les résultats du développement neurologique jusqu’à l’âge de 9 ou 18 ans. Presque toutes les recherches existantes se sont concentrées sur un sous-ensemble restreint de vaccins ou de composants individuels, principalement les produits contenant le ROR (rougeole, oreillons et rubéole), le thimérosal ou des adjuvants à base d’aluminium, ce qui signifie que seule une petite fraction de l’exposition totale des enfants aux vaccins a été évaluée pour déterminer son association avec les TSA ou d’autres troubles neurodéveloppementaux.
Les parents avaient raison!
Peu à peu, les médecins qui ont eu le courage de faire la démarche de remise en question des vaccins Covid, s’ouvrent aussi à l’idée de revenir sur leurs anciennes certitudes concernant les vaccins classiques.
Dans un entretien avec Nicolas Hulscher de la Fondation McCullough, le Dr Andrew Wakefield a paru soulagé à l’idée de pouvoir enfin retrouver la collaboration d’une partie de la communauté scientifique et médicale. Car au-delà du lynchage et de la persécution que le cartel de la vaccination lui a fait subir pendant plus de trente ans, c’est surtout le tort porté à des millions d’enfants en manque de soins qui le préoccupe.
Il le répète inlassablement:
Les parents avaient raison et les médecins avaient tort. Aujourd’hui, il faut avoir le courage et l’honnêteté de prendre du recul et de se dire que finalement on s’est peut-être trompés.
Aujourd’hui, la recherche va pouvoir reprendre son cours, notamment grâce à la restructuration complète du système de santé qui est opérée par Kennedy. Wakefield revient notamment sur les troubles gastroentérologiques présents chez les individus porteurs d’autisme et rappelle certaines hypothèses que l’on aurait dû investiguer depuis des décennies: quel est le rôle des aliments comme le gluten et le lait qui fonctionnent comme des dérivés opïodes qui anesthésient le cerveau lorsqu’ils sont mal digérés? L’autisme est-il lié à des allergies alimentaires et à un état d’inflammation de l’intestin? Ces deux facteurs peuvent-ils se combiner? Et les vaccins, sont-ils susceptibles d’agir comme des neurotoxines?
L’heure du changement est proche et l’espoir renaît pour des milliers de familles dans l’attente de traitements pouvant améliorer les troubles du spectre autistique!

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