Sous couvert de «crise sanitaire» entre 2020 et 2022, les planificateurs centraux du Forum économique mondial avaient imposé des restrictions économiques sans précédent en temps de paix. Une partie des chaînes d’approvisionnement avaient été interrompues, ce qui avait entraîné un accroissement du chômage et accéléré l’inflation.
Malgré les souffrances engendrées, ils avaient fait valoir que ces restrictions avaient été bénéfiques pour la planète, en affirmant qu’elles avaient permis de réduire les «émissions de gaz carbonique». Ils avaient alors présenté l’idée de «confinements climatiques» dont le but serait de faire décroître l’activité économique pour «résoudre le réchauffement climatique.»
Mme Marianna Mazzucato, professeure en économie de l’innovation pour le bien public, présidente du “Conseil de la santé pour tous à l’OMS”, et présentée comme une «collaboratrice de l’agenda» par le Forum économique mondial, avait été jusqu’à écrire:
Lorsque le COVID-19 s’est propagé au début de l’année, les gouvernements ont mis en place des mesures de confinement afin d’éviter qu’une situation d’urgence en matière de santé publique ne devienne incontrôlable. Dans un avenir proche, le monde pourrait avoir à nouveau recours à des mesures de confinement, cette fois pour faire face à une urgence climatique.
Dans le cadre d’un «confinement climatique», les gouvernements limiteraient l’utilisation des véhicules privés, interdiraient la consommation de viande rouge et imposeraient des mesures d’économie d’énergie extrêmes, tandis que les entreprises d’énergie fossile devraient cesser leurs activités de forage.
Nombreux sont ceux qui considèrent que la crise climatique est distincte des crises sanitaires et économiques provoquées par la pandémie. Or, ces trois crises – et leurs solutions – sont interconnectées. […] La crise climatique est également une crise de santé publique. […]
Nous devons agir rapidement si nous voulons transformer l’avenir du travail, des transports et de l’utilisation de l’énergie, et faire du concept de «bonne vie verte» une réalité pour les générations à venir.
Malgré cela, les médias de masse avaient qualifié les observateurs qui soulignaient ces faits avérés de «complotistes.»
Le FMI donne raison aux complotistes
C’était déjà évident pendant la pseudo-pandémie, mais ça l’est encore plus désormais: le fond monétaire international (FMI) vient de publier un «appel à l’action climatique mondiale» dans lequel il déclare que les restrictions à l’activité économique imposées durant la «pandémie» étaient un bon début, mais devaient être réitérées et renforcées pour «sauver le climat.»
Dans la vidéo incluse ci-dessous, le représentant du FMI indique que l’objectif nécessaire est de réduire les «émissions de gaz carbonique» de moitié en cinq ans; et qu’à titre de comparaison, les mesures liées à la «crise sanitaire» ont seulement réduit les émissions de 6%. Il faut donc en faire encore bien plus.
Selon lui, et selon les recherches du FMI, cela permettrait de réduire la température mondiale de 1.5°C, et d’éviter le “bord du gouffre”, et donc de sauver l’humanité.
Outre les confinements et autres mesures débilitantes, telles que la promotion des innovations technologiques ‘sans carbone’ et l’élargissement du marché d’échanges des émissions carbones, le FMI recommande un prix minimum sur le CO2, ce qui signifie un impôt mondial sur le gaz carbonique.
En poussant plus loin le raisonnement, et dans la mesure où le gaz carbonique est le sous-produit naturel de la vie animale, cela signifierait que chaque enfant naîtrait avec une dette à vie à l’égard du cartel bancaire.
Rappelons que ces «modèles climatiques» dont se sert le FMI, qui lient la température en centigrades aux émissions de CO2, ne font pas l’objet d’un consensus scientifique, ne tiennent pas compte de l’activité du soleil, et n’ont jamais produit la moindre preuve empirique.
Dépeuplement en filigrane
Si le FMI parvenait à imposer le genre de décroissance envisagée dans le rapport qui accompagne la vidéo ci-dessus, la misère et la famine que cela engendrerait aurait sans aucun doute pour conséquence une mortalité importante.
Et en effet, en filigrane de cette idéologie, il faut s’interroger sur la mise en place d’une politique de dépeuplement de la planète. Essentiel News avait déjà eu l’occasion de relayer cette analyse; derrière l’agenda 2030 des Nations Unies et la «conférence climatique» qui en est l’appendice, et dont ce rapport du FMI ne constitue qu’une énième illustration, se cache une philosophie misanthropique malthusienne qui considère l’humanité comme un fléau.
L’organe principal de cette ambition dépopulationniste se nomme le Club de Rome, think-tank créé en 1968 par la fondation Rockefeller et l’OCDE, dont le texte fondateur s’intitule Les limites à la croissance. Quiconque conserverait l’ombre d’un doute peut visionner la vidéo suivante, extrait d’une interview donnée par Dennis Meadows, membre du Club de Rome et auteur principal du rapport susmentionné (traduction et sous-titrage par Essentiel News):
Plusieurs points à relever:
- Les observateurs avisés ne manqueront pas son sourire satisfait à la fin lorsqu’il parle de ses «espoirs pessimistes» que la dépopulation puisse se faire pacifiquement.
- M. Meadows ne parle pas d’une réduction des naissances, il parle ouvertement d’une réduction de la population (et donc de mortalité).
- Apparemment, il n’existe aucune base scientifique sous-tendant les chiffres avancés; ils sont inventés pour donner une meilleure forme à ses ambitions génocidaires.
- De telles ambitions génocidaires ne sont ni rares, ni nouvelles; sous des prétextes différents, elles ont existé sur tous les continents, à toutes les époques.
Comme nous l’avons déjà évoqué dans de nombreux articles, la véritable cause du gaspillage, des inégalités, de la misère et de la guerre, tient plutôt au système mondial de planification centrale fondé sur le crédit et la réserve fractionnaire, qui permet aux États et aux multinationales pléthoriques d’exister.
Ce que le monde ne peut supporter, c’est la croissance éternelle de la dette, pas la croissance de l’activité et de la prospérité humaines.