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Finie la guerre des médecines, place à la coopération!

La physique quantique amène une nouvelle dimension, qui scelle la complémentarité des médecines «conventionnelles» et «naturelles». Un renouveau scientifique et un espoir pour les patients.

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La rencontre de la médecine et de la physique quantique est fertile. Elle bouleverse la compréhension de notre corps, qui est à la fois matière et énergie électromagnétique, sonore et lumineuse.

De là naît la vision d’une médecine intégrative qui encourage la coopération des différentes thérapies, qu’elles soient allopathiques, naturelles ou alternatives, toujours au service du patient.

Deux scientifiques incarnaient cette convergence le 3 septembre aux Rencontres de Cara. La Dre Béatrice Milbert, homéopathe, préside la Fondation IRIM (Independent Research for Integrative Medicine) et l’Académie Libre de Médecine Intégrative. Et le physicien Philippe Bobola, qui est également biologiste, anthropologue et psychanalyste, anime l’Ecole de l’Unité du Savoir.

Aujourd’hui la médecine allopathique – bien sûr nécessaire – a du mal à dialoguer avec les autres. Hégémonique, murée dans son «château-fort», elle regarde avec suspicion, voire dédain, les autres formes de soin.

Le temps de la coopération est arrivé

Mais aujourd’hui, le temps est venu où toutes les solutions thérapeutiques doivent coopérer. La médecine conventionnelle s’est construite sur l’observation de tissus morts. Elle doit être complétée par des approches énergétiques, grâce à la compréhension du rôle de l’atome, amenée par la physique quantique.

Ainsi, l’acupuncture, qui travaille sur les méridiens, est une forme de médecine quantique depuis 5000 ans. C’est aussi le cas de l’homéopathie, dont les effets énergétiques ne sont pas décelables par l’analyse classique basée uniquement sur la matière corporelle.

La physique quantique permet de redéfinir le vivant par les mouvements vibratoires de l’atome et de ses particules. Ainsi, une cellule malade «vibre mal». Une intervention de nature quantique permet de rétablir une «bonne vibration».

«Réinformer» les parties malades

Bien sûr, pas question d’opposer matière et vibration. Ne tombons pas dans une guerre des médecines. Ainsi, plutôt que parler de soins «alternatifs», les orateurs préfèrent l’adjectif «intégratifs».

L’eau de nos cellules est capable d’absorber les informations de l’environnement. Ainsi chaque cellule, loin d’être un élément fermé dans sa membrane, est connectée à l’ensemble de l’organisme et à ses interrelations. Ce circuit d’informations permet ainsi d’agir en réinformant les parties qui dysfonctionnent.

À un autre niveau, cette approche comprend aussi des énergies de paix et d’amour, comme les pratique la médecine indienne avec des chants et des mantras.

L’exposé présenté dans cette vidéo par les deux intervenants offre un renouveau de l’art thérapeutique, en phase avec le vivant et les forces de la nature. Et aussi un grand espoir pour le traitement des maladies, en prenant en compte leur aspect holistique.

Des formations dans ce sens sont proposées aux praticiens :