Plusieurs associations de victimes des vaccins Covid s’allient pour protester contre le silence assourdissant de la presse francophone face à la thématique des effets indésirables. Une manifestation aura lieu mardi 16 janvier à 14h devant les locaux de l’Agence France Presse à Paris. De nombreux parents de victimes seront présents, notamment Marc Doyer, Gilbert Sonia et Michèle Musso. Le Professeur Christian Perronne sera également sur place, afin de soutenir les victimes et leur famille dans leurs revendications.
Dans ses voeux de bonne année, le Professeur Perronne, vice président de l’association BonsensOrg, mais aussi ancien responsable de l’OMS pour la vaccination en Europe, a rappelé une fois de plus, les effets délétères des vaccins :
La mortalité augmente de façon très inquiétante depuis les campagnes «vaccinales» Covid, y compris chez les jeunes avec beaucoup de crises cardiaques, d’accidents vasculaires et de cancers d’évolution fulgurante. Cette surmortalité est reconnue, mais officiellement la cause est inconnue et l’on nous bloque l’accès aux données de santé qui sont devenues secret d’État! La fertilité est en baisse et cela depuis quelques mois après le début des campagnes d’inoculation. La France, par nature optimiste, qui avait un des taux de natalité les plus élevés en Europe, fait beaucoup moins d’enfants.
Le cartel de la censure
Il a également dénoncé le rôle de ceux qu’il appelle les “médias de grand chemin” :
Après la phase d’abnégation où les Français ont été terrorisés par des messages de peur incessants, de plus en plus de personnes se réveillent de ce cauchemar et ne lisent plus ou n’écoutent plus les médias de grands chemins. Ces médias n’existeraient plus aujourd’hui sans les milliards de subventions donnés par le gouvernement.
Cette “trahison” médiatique déplorée par de nombreux Français s’inscrit aussi dans un contexte international. Dès le début de la pandémie, le 27 mars 2020, l’AFP avait rejoint un consortium de médias nommé le Trusted News Initiative (TNI) dont l’objectif était de contrôler toutes les informations concernant la crise sanitaire. Y figurent des géants de premier plan tels que la BBC, Reuters, le Wall Street Journal, la European Broadcasting Union, Microsoft, Facebook et Google. Le TNI entend contrôler le discours public en définissant une série de messages communs et en pourchassant “les fake news” de ceux qu’il désigne comme les acteurs de la désinformation. En janvier 2023, l’avocat et candidat aux élections américaines Robert Kennedy Jr., qui fait l’objet d’une censure systématique par ce groupe, a déposé une plainte contre le TNI sur base des lois anti-trust et du droit à la liberté d’expression consacré par la Constitution des États-Unis. L’affaire suit son cours, une condamnation de ces grandes corporations pourrait entraîner un changement significatif dans le discours médiatique sur les vaccins.
En attendant, à Paris et ailleurs, les victimes des injections sont de plus en plus nombreuses à manifester leur colère.