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Le Dr Yeadon jette un pavé dans la mare de l’hétérodoxie Ivermectine

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L’ancien vice-président de Pfizer, et membre notable de la résistance contre les mesures liberticides de la «pandémie», vient d’affirmer que l’ivermectine est un toxique pour la fertilité.

Le Dr. Michael Yeadon a été, durant toute la durée de la pseudo-pandémie récente, une des voix principales de sagesse et de raison.

Ses qualifications l’ont rendu un intervenant de poids: biochimiste, toxicologue et pharmacien, il a travaillé pendant 16 ans chez Pfizer. Chez ce géant pharmaceutique il a été, jusqu’en 2011, le vice-président en charge de la recherche sur les allergies et les maladies respiratoires. Il a ensuite co-fondé la startup de biotechnologie Ziarco, qu’il a vendue à Novartis en 2017 pour 325 millions de dollars.

Au début de la «pandémie», il est apparu dans le documentaire «Planet Lockdown», dans lequel il a remis en question l’existence même d’une quelconque pandémie. Plus tard, il a réalisé une deuxième interview pour le même réalisateur, en expliquant les effets dévastateurs que l’injection d’ARNm était susceptible d’avoir pour la fertilité.

Le Dr. Yeadon a toujours eu des positions peu orthodoxes, même au sein de la résistance. Il remet par exemple en cause l’existence d’un virus SARS-CoV-1, et rejoint ainsi d’autres voix éminentes, bien que minoritaires.

Lors d’une interview dans le «Delingpod podcast» réalisée cet été, le Dr. Yeadon jette un nouveau pavé dans la mare. Il affirme que la promotion de l’ivermectine au sein de la résistance relève également d’un complot, car ce médicament est, selon lui, extrêmement toxique pour la fertilité.

Il affirme également que certains des compléments alimentaires recommandés pour «lutter contre le SARS-CoV-1» ont l’effet de ralentir l’élimination de l’ivermectine par le corps, ce qu’il considère comme étant également délibéré.

Selon lui, cela n’est pas une coïncidence; il pense que les planificateurs ont pour objectif de réduire la fertilité (et donc la natalité), et que s’ils ne parviennent pas à le faire via l’injection ARNm, ils sont parvenus à le faire via l’ivermectine.

La rédaction d’Essentiel News a sous-titré en français l’extrait dans lequel il a fait ces déclarations. Pour l’interview complète en anglais, voir ici.

 

Guerre contre l’ivermectine

Si le Dr. Yeadon a raison, cela révèle un processus remarquable de psychologie inversée. En effet, la guerre de propagande menée contre l’ivermectine fut remarquable par son niveau d’absurdité.

Pendant la pandémie, les médias subventionnés ont qualifié ce médicament de «pâte vermifuge pour les chevaux», impropre à une utilisation non-vétérinaire; alors qu’en réalité il est utilisé depuis longtemps chez les humains, et qu’il était, avant 2020, universellement qualifié de médicament providentiel offrant des propriétés antibiotiques, antivirales, et anticancéreuses.

Est-ce que le Dr. Yeadon aurait raison, et la propagande a-t-elle livré une guerre à l’ivermectine d’autant plus absurde qu’il s’agissait de convaincre les dissidents d’en prendre? Cela reste à élucider.