Le Dr Richard Urso, spécialiste des tumeurs oculaires aux Etats-Unis, travaille depuis des années sur les nanoparticules (contenues dans les vaccins ARN) et leur distribution incontrôlée dans l’organisme.
Dans cette courte vidéo (5 minutes – sous-titrée en français), il explique que les nanoparticules lipidiques, une fois injectées dans le bras, vont répandre un peu partout pendant plus de 60 jours des protéines spike – une toxine du coronavirus, notamment pour le système cardiovasculaire, sensée stimuler la réaction immunitaire contre le Covid.
On ne dit jamais ça aux gens injectés, déplore Richard Urso: “On va vous mettre ça dans le bras, mais ça pourra apparaître dans les ganglions lymphatiques, le cerveau, les ovaires, la moelle osseuse, le foie, la rate, les glandes surrénales…”.
Tout cela est maintenant étayé par de nombreuses études, relève-t-il. “Mais pourquoi Pfizer ne les a pas faites, ces études… ou pas divulguées?” demande le médecin.
Selon ces études, ajoute-t-il, la protéine spike se retrouve jusqu’à 15 mois après l’injection dans les monocytes (type de globules blancs) ou d’autres cellules. Elle bloque d’importants génomes de réparation des tumeurs, appelés P53.
Spike bloque aussi des génomes responsables de la surveillance des virus, poursuit le Dr Urso, qui soigne des centaines de patients vaccinés. Cela provoque une forte hausse des infections virales, ainsi qu’une activation des virus dormants dans le corps (comme ceux de l’herpès).
Richard Urso rappelle la surmortalité observée par les compagnies d’assurances (voir article de Covidhub Effets graves des vaccins Covid: l’heure de vérité?): jusqu’à 40% de décès supplémentaires pour les 18-64 ans et 84% pour les 25-44 ans.
Mais la plupart des patients, médecins et responsables sanitaires ne sont pas au courant, constate-t-il avec stupéfaction.
- Voir aussi l’article de FranceSoir: À la suite de leurs découvertes à propos des effets secondaires de la vaccination anti-Covid, plusieurs scientifiques de renommée mondiale tirent la sonnette d’alarme : ces thérapies géniques favoriseraient le développement du cancer. 👇