Comment les institutions sensées protéger la santé publique et la démocratie se sont soudainement retournées contre les citoyens avec une telle violence? C’est la question centrale du film Le véritable Anthony Fauci. (Covidhub)
Il retrace le combat de l’avocat Robert F Kennedy Jr – neveu du président John Kennedy – contre la collusion, la tromperie et la manipulation qui affectent la liberté, la santé et la sécurité des familles lors de l’épidémie du Covid. Le Dr Fauci étant l’architecte de cette politique sanitaire troublante mise en place aux Etats-Unis, et largement copiée par presque tous les Etats occidentaux.
Anthony Fauci a été le conseiller en chef pour la santé publique de sept présidents américains successifs, de Ronald Reagan à Joe Biden.
Le film remonte jusqu’au début du règne de Fauci, en 1984, lors de l’émergence du Sida. Il montre notamment des images terrifiantes d’expériences de laboratoire sur des enfants de couleur à New York.
Censuré et boycotté, mais best-seller
Ce documentaire est tiré du livre de Robert Kennedy Jr., The real Anthony Fauci. Un an d’enquête minutieuse censurée, boycottée par des librairies et des bibliothèques… mais qui est devenu un best-seller avec plus d’un million d’exemplaires vendus.
Il donne la parole à différents experts prenant position contre le système de santé actuel, considéré comme criminel et nuisible, et plus particulièrement contre le Dr Anthony Fauci et son rôle dans les épidémies du Sida et du Covid-19.
Ci-dessous, les extraits les plus significatifs des témoignages:
Comment les pharmas ont détourné la santé publique
Robert Kennedy observe comment l’industrie a détourné des serviteurs de la santé publique, pour ne plus jouer leur rôle réglementaire et devenir des marionnettes de Big Pharma. Il explore la militarisation et monétisation de la médecine qui ont laissé les Etasuniens sans soins et la démocratie en lambeaux. Il décrit le rôle inquiétant des médias grand public, dangereusement orientés.
En 2019, six semaines avant la déclaration de la crise Covid a eu lieu l’Evénement 201, un exercice qui simule la réaction d’urgence à une pandémie, conseil convoqué d’urgence, parrainé par la Fondation Bill et Melinda Gates, le Forum Economique Mondial, Johns Hopkins Center for Health Security financé par le NIH (National Institute for Health) et Bill Gates.
La CIA dans le coup
Parmi les organisateurs principaux : Avril Haines qui est l’ancienne directrice adjointe de la CIA. Pourquoi la CIA organise-t-elle une simulation sur la santé publique alors que c’est une agence de renseignements ?!
Au cours de cet event 201, simulation d’un coronavirus, on voit différents participants échanger sur les stratégies à mettre en œuvre pour lutter contre les “fake-news propagées notamment par les antivax” présents en nombre sur les réseaux sociaux, déjà avant la pandémie.
Le gouvernement chinois était au courant de la fuite du virus le 12 septembre 2019. Curieusement, on notait la présence de George Fu Gao, le chef du “CDC chinois” (Centres pour le contrôle des maladies). A ce moment là, il savait presque avec certitude que le coronavirus circulait déjà.
Fauci est l’architecte de la mainmise sur les institutions de santé. Il a ainsi déclaré le remdesivir (un traitement très onéreux et reconnu comme inefficace et dangereux) comme norme de soin pour le Covid. Fauci et Gates ont détourné l’OMS de ses préoccupations traditionnelles pour les réorienter vers une préoccupation unique autour des vaccins.
Le pharma-colonialisme
Naomi Wolf, auteure du livre The Body of Others (Le corps des autres) : Fauci a communiqué avec Zuckerberg (fondateur de Facebook) et les autres géants d’internet. C’est un conflit d’intérêts. Facebook et Google ont investi dans les vaccins. Microsoft fabrique des pass sanitaires.
Celia Farber, auteure du livre Effets secondaires graves : une histoire non censurée du sida : le pharma-colonialisme ôte aux pays leur souveraineté pour décider de traitements appropriés afin de répondre à diverses maladies. Elle a pu le constater en Afrique, le CDC a corrompu les gouvernements pour imposer sa suprématie.
Le décès subit de sportifs
Robert Kennedy Jr. raconte que juste après le début des vaccinations anti-covid, des décès ont rapidement été constatés, notamment de personnes âgées. Hank Aaron, super star de la Major League de baseball est décédé à 86 ans. Il avait donné une conférence de presse, à la demande du CDC à Atlanta. Là, il s’était fait vacciner sous la caméra de la TV en invitant les afros-américains à faire de même, déclarant que le vaccin était sûr. 17 jours plus tard il est mort.
Robert Kennedy a écrit un article disant que sa mort faisait partie des nombreux décès signalés suite à la vaccination. Il a été attaqué par le CDC, par le New-York Times, USA Today, des réseaux de TV et médias du monde entier. Par la suite, un grand nombre de sportifs se sont effondrés au cours de leur pratique.
Effets secondaires: à peine 10% des cas sont déclarés
Mary Holland, présidente de Children Health Defense (Association de Défense de la Santé des Enfants) : nous avons observé qu’il y a eu davantage de morts et d’effets secondaires suite aux injections Covid rapportés dans le système de pharmacovigilance VAERS que pour tous les autres vaccins réunis au cours des trente dernières années. On estime que le nombre de déclarations d’effets secondaires n’est que 10% du nombre réel. il faudrait donc multiplier ces données par 10 pour être plus réalistes. Le système VAERS est compliqué, la plupart des médecins ne sont pas formés pour l’utiliser.
Le refus du Dr Fauci d’améliorer le système VAERS de surveillance des dommages des vaccins, sous la responsabilité des services de santé, constitue une négligence inexcusable. Les propres études du département indique que le VAERS pourrait sous-estimer plus de 99 % des dommages causés par les vaccins.
Fauci lui-même relate des expériences de vaccins qui ont mal tourné. Il rappelle qu’il est possible de réaliser douze ans après que «l’enfer se déchaîne»…
Le règne de Fauci commence en 1984…
Celia Farber : le règne de Fauci a débuté en 1984, tout a changé cette année là, le gouvernement américain a déclaré avoir découvert l’origine probable du Sida soit un variant d’un virus humain nommé virus de l’immuno-déficience humaine (VIH). En 1984 Fauci devient le directeur du NIAID (Institut national des allergies et maladies infectieuses).
Mark Crispin Miller, professeur d’études des médias à l’Université de New-York : Fauci a compris qu’il pouvait sauver son institution gouvernementale en définissant le sida comme une maladie infectieuse. Son agence, au sein du NIH (National Institutes of Health – Instituts américains de la santé) était entièrement consacrée à l’étude des allergies et maladies infectieuses. Or, les maladies infectieuses étaient en quelque sorte en déclin, celles-ci avaient été maîtrisées au moment où Fauci est arrivé, ce qui nécessitait de rouvrir le robinet des financements, pour son agence et ses alliés de Big Pharma.
Il touche des droits sur les ventes de médicaments qu’il a autorisés
Une loi votée en 1980 a permis au NIAID et à Fauci de déposer des brevets sur des centaines de médicaments que son agence finançait, en faisant incuber des agents biologiques, puis accorder des autorisations pour ces médicaments à des sociétés pharmaceutiques et enfin de percevoir des droits sur leur vente.
Mark Crispin Miller : Le sida, cette maladie dont il était dit que les gens pouvaient être infectés sans même le savoir, a donné lieu à des récits d’épouvante dans les médias comme par exemple attraper le sida sur des sièges de toilettes, etc.
Un ingénieur social qui réorganise les contacts humains
Celia Farber : Fauci est essentiellement un ingénieur social. Il réorganise la façon dont les gens pensent le contact humain, le toucher, l’intimité. C’était un tremblement de terre dans la culture américaine, la biologie, la virologie, la politique, tout.
Mark Crispin Miller : C’était une maladie si horrible et terrifiante qu’elle obligeait les gens à rester éloignés les uns des autres. Plus de contacts humains, plus de relations sexuelles.
Déjà le test PCR
Celia Farber : Cela représentait la mort et potentiellement le meurtre de quelqu’un d’aimé. Il s’agissait d’idées radicales, très sombres. Fauci a dit que si les gens étaient positifs au test, ils allaient probablement mourir dans les six mois à un an, puis c’est devenu trois ans, cinq ans, puis dix ans, et ils n’ont cessé d’allonger la durée.
Mark Crispin Miller : pour que les gens sachent qu’ils avaient le sida, ils devaient faire des tests PCR. Son inventeur Karry Mullis était fou de rage à l’idée que les personnes atteintes du VIH puissent être diagnostiquées avec ce test, il s’est élevé contre cette pratique à l’époque.
Mike Yeadon, ex vice-directeur de Pfizer : Karry Mullis a dit à plusieurs reprises qu’il ne fallait pas utiliser le test PCR pour diagnostiquer une infection clinique par des virus.
Karry Mullis a dénoncé le fait que ces gens ont un agenda personnel, ils inventent leurs propres règles.
La bataille autour du Sida
Luc Montagnier a envoyé un échantillon biologique à Robert Gallo pour avoir son avis. Celui-ci a ensuite révélé en 1983 dans une conférence de presse qu’il avait découvert dans son laboratoire le VIH et que celui-ci était la cause du sida. Une bataille massive s’en est suivie entre Gallo et Montagnier.
Kary Mullis : je suis aller voir Montagnier et lui ai dit que je ne pouvais pas trouver de référence qui va avec l’affirmation que le VIH est une cause probable du sida, je suis sûr que vous pouvez m’aider. Kary Mullis trouvait que le rapport du CDC n’était pas un document scientifique.
Luc Montagnier a toujours été une épine dans le pied de l’orthodoxie. Il a déclaré que le VIH n’est pas suffisant pour provoquer le sida, qu’il existait sans doute des co-facteurs qui activent le virus dans les cellules.
En 1987 le Dr Peter Duesberg, professeur de biologie moléculaire à l’université de Berkeley, a affirmé que le VIH ne pouvait pas être la cause du sida vu qu’il n’infectait pas assez de cellules et n’était pas assez actif, qu’il ne se trouvait que dans une cellule T (chargées de la réaction immunitaire) sur 8000.
Fauci a répondu que Duesberg créait une énorme anxiété chez les personnes infectées qui pouvaient penser qu’il y avait un complot scientifique contre elles…
Le VIH n’était de loin pas présent dans tous les cas de sida mais Fauci s’est assuré qu’il y avait une corrélation parfaite en éliminant une cinquantaine de cas de sida séronégatifs. Lors d’une conférence à Amsterdam au début des années 1990, des médecins ont révélé que les tests de sérologie de leurs patients étaient négatifs. Fauci a dit que ce n’était pas un problème, on les a exclus de la définition officielle. Il a déclaré que les cas inexpliqués de sida représentaient une nouvelle maladie: «idiophatic CD4 lymphocitopenia» (ICL).
Croisade pour faire taire la dissidence
Fauci a mené une croisade pour faire taire la dissidence, s’assurer que le débat n’ait pas lieu et que la science qui défie l’orthodoxie soit supprimée, que les gens qui ont exprimé cette science aient leur carrière détruite, qu’ils soient réduits au silence, diffamés, marginalisés, ridiculisés.
Des manifestations ont éclaté, les participants disaient qu’ils n’avaient pas besoin de médicaments, qu’il fallait « virer Fauci ». Fauci a pris la décision de prescrire de l’AZT (selon Celia Farber, un produit chimique vraiment toxique) à toute personne dont le taux de CD4 était inférieur à 500, même si elle était en bonne santé et ne présentait pas de symptôme du sida, comme mesure préventive.
Des patients qui ont pris ce traitement sont morts. Des scientifiques et des personnes infectées ont expérimenté d’autres traitements qui ont fait leurs preuves, comme l’hyperthermie, la vitamine C, le traitement à l’ozone. Un patient guéri par ces méthodes en a fait part au laboratoire de Fauci qui a reconnu que sa santé s’était améliorée, sans y donner d’autre suite…
Mépris des thérapies naturelles, choix de traitements chers et toxiques
Le faucisme est un mépris absolu pour les thérapies naturelles et non toxiques. Un mépris de la dialectique sur la nature du système immunitaire, ce qu’est la santé, comment se désintoxiquer. En cas de maladie chronique, s’agit-il simplement d’attaquer l’agent pathogène avec les médicaments les plus toxiques qu’on puisse imaginer ?
A l’époque l’AZT (Retrovir) était le médicament le plus toxique jamais administré à des humains. C’était aussi le traitement le plus cher de l’histoire: 10’000 dollars par an.
Le scandale de l’AZT
L’AZT a été approuvé d’une façon qui a brisé la tradition de la FDA (agence de contrôle des aliments et médicaments). Avant il fallait dix ans à la FDA pour approuver un médicament, s’assurer qu’il soit sûr et efficace. De multiples voix se sont élevées pour dénoncer le fait que l’AZT ait littéralement empoisonné des patients.
Le colonialisme en matière de santé publique permet d’annoncer aux pays pauvres qu’ils sont sur le point de mourir d’une nouvelle maladie terrible. L’occasion de leur livrer de l’AZT, des médicaments et des vaccins.
Expériences terribles sur des enfants à New York
L’administration des services de l’enfance de la ville de New-York a fait participer des enfants à des essais dangereux de médicaments contre le VIH pendant une période de vingt ans dès la fin des années 1980. Fauci s’est arrangé pour que des médicaments expérimentaux soient administrés à des enfants en famille d’accueil dans sept Etats. Certains étaient des nourrissons et n’étaient pas séropositifs.
Vera Sharav, survivante de l’holocauste, affirme que Fauci, avec les compagnies pharmaceutiques, a sponsorisé ces expériences invasives. Si les enfants refusaient les médicaments, ils leur mettaient une sonde gastrique. 80 de ces enfants sont morts, tous des enfants de couleur… enterrés dans une fosse commune. Parmi les labos concernés Merck, Pfizer, GlaxoWellcome… De nombreux autres enfants ont subi de graves préjudices. Rien n’a été fait pour punir ceux qui ont violé la loi.
Robert Kennedy (père) a visité une institution d’Etat pour retardés mentaux à Willowbrook, ils ont fait des expériences sur des enfants atteints de déficiences intellectuelles. Les images sont insoutenables. Beaucoup d’argent était en jeu dans les compagnies pharmaceutiques (Merck, Pfizer, GlaxoWellcome, Progenics Pharmaceuticals), il y avait des incitations pour la carrière des médecins qui se livraient à ce genre d’expériences.
Horreur inimaginable… sponsorisée par l’Etat et les pharmas
Vera Sharav : la plupart des gens n’arrivent pas à imaginer qu’il existe des personnes, et en particulier des médecins comme Fauci, qui peuvent faire fi de l’humanité des individus, y compris des enfants. Il s’agissait d’un abus horrible. Mais comme il était parrainé par le gouvernement en collaboration avec des sociétés pharmaceutiques, ils avaient en quelque sorte le champ libre. L’État et la ville de New-York fournissaient les enfants…
La loi de 1986 de Reagan visait soi-disant l’indemnisation des enfants blessés ou tués par les vaccins, et à rendre ces derniers plus sûrs. En fait elle a offert aux fabricants de vaccins et prestataires de soins qui les fournissaient, une protection quasi totale en matière de responsabilité. Dès lors les fabricants se sont protégés au niveau juridique, les vaccins ne sont pas devenus plus sûrs ni les victimes davantage indemnisées.
Les politiciens n’ont pas posé de question
Robert Kennedy Jr. : Le Congrès ne se pose pas de questions et se contente de donner de l’argent année après année à Fauci pour maintenir cette infrastructure, tout le cartel médical est dans le coup.
Bill Gates a développé une coopération étroite avec Fauci au fil des années. Le ministère de la justice a accusé Gates d’avoir recours à des pratiques visant à asseoir son monopole sur les ordinateurs personnels. Le démantèlement de Microsoft a été ordonné pour violation de la loi anti-trust.
C’était l’homme d’affaires le plus décrié des Etats-Unis… et soudain il est devenu «philanthrope». Il a appliqué les mêmes méthodes utilisées avec les technologies de l’information pour monopoliser la santé publique par le biais de ses dons «généreux». Lesquels sont en réalité un écran derrière lequel il a réalisé d’autres investissements stratégiques qui ont produit un retour financier massif.
Gates a investit dix milliards de dollars dans les vaccins et a réalisé un retour sur investissement de 20 pour 1. Les milliardaires modernes qu’on qualifie de «philanthropes» (Soros, Zuckerberg, etc.) ont beaucoup de points communs avec John D. Rockefeller.
Le système Rockefeller
Rockefeller était détesté pour sa façon de traiter les ouvriers et sa soif de pouvoir. Vera Sharav raconte qu’en 1910, il a vraiment pris le contrôle de la santé, en particulier des écoles de médecine, et a totalement réorienté les soins pour qu’ils soient totalement axés sur les traitements pharmaceutiques et diverses procédures chirurgicales, pour en faire un véritable commerce. Les Rockefeller sont impliqués dans tout, à commencer par l’OMS.
Bill Gates suit la ligne directrice de son père. Celui-ci a dirigé le Planning Familial, très controversé, associé à des activités «philanthropiques» de Rockefeller axées sur l’eugénisme (l’ensemble des méthodes et pratiques visant à sélectionner le patrimoine génétique des générations futures d’une population selon des critères de sélection prédéfinis) comme Eugenics.
Vera Sharav : Les très riches ont créé des fondations pour éliminer leur obligation fiscale, les fondations n’ayant pas à payer d’impôts. Celles-ci acquièrent un contrôle énorme en donnant de l’argent à des organisations non gouvernementales (ONG) et influencent ainsi les politiques choisies, tout en gagnant de l’argent pour elles-mêmes.
Le président de la fondation Rockefeller, le Dr Rajiv Shah, a rejoint la fondation Gates en 2001, il a dirigé la Facilité internationale de financement pour la vaccination (IFFI) en Afrique. Par un tour de passe-passe, l’IFFI enrichit les partenaires de Gates Pharma à l’aide d’organisations financières occidentales, en faisant supporter le coût aux générations futures des pays pauvres.
Du Sida au Sars (2002) en passant par le Mers (2003), la grippe aviaire (2005), H1n1 (2009), tous ont un point commun: Fauci est au centre, toujours le même scénario avec un virus différent. Fauci était responsable du financement massif de nombreux laboratoires de bio-sécurité aux Etats-Unis dont plusieurs faisaient des expériences sur les gains de fonction.
Fauci avait annoncé : « Il n’y a aucun doute qu’il y aura une épidémie surprise !»
Robert Kennedy : L’agence étatique de réglementation collabore avec les sociétés pharmaceutiques pour garder secrets les résultats des essais cliniques pour un vaccin covid devenu obligatoire pour quasi tout le monde et pour lequel la compagnie ne porte aucune responsabilité. Quelle que soit la gravité des lésions, ils ne peuvent pas être poursuivis en justice.
La femme de Robert Malone (pionnier du système ARNm) a découvert le site « how bad is my batch » qui répertorie le nombre d’effets indésirables et de décès par lot de vaccin covid. C’est la plus grande expérience jamais réalisée sur des êtres humains. Nous n’avons aucune idée de ce qui a été fait et pourtant cette molécule synthétique, qui n’est pas vraiment de l’ARN, a été sélectionnée et administrée à des populations mondiales !
Partie 2 à venir bientôt.
Traduction assurée par la Team Top Gun.