Parole est donnée à des laissés pour compte qui souffrent et se battent sans soutien des autorités auxquelles ils ont fait confiance, ainsi qu’à des spécialistes dont les voix sont rarement écoutées.
Covidhub vous propose une sélection d’extraits en vidéo (9 minutes).
Réalisateur réputé
Paolo Cassina, réalisateur et cinéaste actif depuis plus de 20 ans dans le monde de la télévision et de la communication, primé à deux reprises pour ses documentaires, a toujours été attentif aux questions sociales et à la nécessité de donner la parole à des personnes qui ont peu de chances d’être entendues.
Avec le film Invisibili, entièrement couvert par un financement participatif, il entre sur le terrain miné des dégâts vaccinaux Covid – encore largement tabou et ignoré par les médias établis.
Simplement donner la parole
Une dizaine de victimes défilent à l’écran. Des gens de tous les jours, qui se sont faits vacciner pour «protéger leurs parents» ou d’autres raisons et souffrent au quotidien d’effets secondaires. Certains ont perdu un de leur proches.
«Dix jours après l’injection, d’anciens symptômes refaisaient surface, je perdais des cheveux, j’avais des petites plaies à la bouche et mon système immunitaire était déréglé. Le fait est que 10 jours après le vaccin Pfizer, tout explose dans mon corps. Je travaillais 6 heures par jour avec une centaine d’enfants dans une école maternelle. Aujourd’hui je suis exténuée après 1 heure et je n’arrive plus rien à faire à la maison en rentrant.» Une victime de dégâts vaccinaux
Déni social et abandon
Des témoignages simples, auxquels certains pourront peut-être se raccrocher, trouver des similarités avec leur vécu, pour trouver le courage de briser le tabou.
Egalement invités à s’exprimer, des spécialistes – psychiatre, médecin, avocat, activiste – soulèvent dans le cadre de leur expertise les points essentiels pour saisir l’ampleur et la gravité du phénomène. Notamment les conséquences du déni social et de l’abandon des victimes.
Appel à la liberté vaccinale
Deux leçons s’imposent à l’issue de 90 minutes dans l’intimité de ces victimes:
– on ne devrait en aucun cas forcer des êtres humains à s’inoculer ou à prendre des substances potentiellement nocives et parfois mortelles,
– la société aurait dû donner la parole plus tôt à ces experts qui ont tenté de lancer l’alerte et nous mettre en garde sur les risques.
«L’Agence italienne pharmaceutique (AIFA) avait annoncé dans son rapport 2021 sur la surveillance des effets secondaires des vaccins une incidence de 109 cas pour 100 000 injections. Ces chiffres sont le résultat d’un contrôle passif. Aux États-Unis, leur système de surveillance active (V-Safe) indiquait un nombre d’effets secondaires 640 fois plus élevé que ceux de l’AIFA». Dr Alberto Donzelli, médecin spécialiste en hygiène et médecine préventive, ancien cadre de la santé publique italienne.
Sélection d’extraits par Covidhub (9 minutes)
Documentaire intégral avec sous-titres en français :
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