Dérive pornographique à l’Education Nationale : une maman témoigne

L'émission de Tocsin révèle que des lycéens français sont obligés de lire un livre très controversé dans le cadre du prix Goncourt.

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Republication de l’émission du média indépendant TOCSIN du 25 sept. 2024 :

ATTENTION CONTENU CHOQUANT ET NON ADAPTÉ AUX ENFANTS.

“C’est sans doute le plus grand scandale jamais révélé par Tocsin ! Dans le cadre du prix Goncourt des lycéens, des élèves de l’école publique partout sur le territoire sont obligés de lire “Le club des enfants perdus”, un roman noir de Rebecca Lighieri complètement pornographique qui décrit des scènes extrêmement choquantes et pas du tout adaptées à un lectorat jeune ! Le livre incite également au suicide, ce qui est catastrophique au vu de l’état mental de la jeunesse aujourd’hui !”.

🔷 Avec Sophie Audugé, Déléguée générale de l’association SOS Education
🔷 Avec Jeanne, Maman de Robin, 14 ans, lycéen en classe en seconde qui a dû lire “Le club des enfants perdus” de Rebbeca Lighieri dans le cadre du prix Goncourt des lycéens.

Aller plus loin

Pétition : SOS Éducation et son comité d’experts constitué de médecins, pédiatres, pédopsychiatres, psychologues cliniciens et chercheurs en psychologie du développement invitent à agir aujourd’hui pour protéger les enfants ! OUI à la prévention, NON à l’éducation à la sexualité à l’école, signer la pétition :

Des collectifs de parents se mobilisent comme les Mamans Louves en France, le Collectif Parents Suisse, en Belgique le collectif Sauvons nos enfants et l’Association Innocence en danger.

Livre “L’éducation sexuelle à l’école – les nouvelles orientations de l’Education nationale en question” de Sophie Audugé, Directrice de SOS Éducation, spécialiste des politiques éducatives, et Maurice Berger, Pédopsychiatre, ex-professeur associé de psychopathologie de l’enfant.

Présentation : Vos enfants sont confrontés dès le primaire au risque de la pornographie… Il faut les prévenir des abus sexuels… Ils doivent savoir le plus tôt possible ce qu’est la sexualité pour éviter la désinformation des cours de récréation… Autant de « bonnes raisons » de défendre une éducation sexuelle dispensée dans le cadre de l’école.

Or il s’agit là d’une conception pour le moins naïve, voire biaisée, du rôle de l’Éducation nationale. Ce n’est pas à l’enfant de se protéger de la violence, c’est aux adultes qu’il incombe de créer les conditions d’un milieu sécurisé. Mais surtout on ne mesure pas le danger d’une sexualisation précoce de l’esprit de l’enfant – dès la maternelle comme le prévoit la législation –, et les conséquences traumatiques chez un enfant qui n’a pas atteint la puberté, ou chez celui qui entre dans la période fragile de l’adolescence.

C’est pourquoi Sophie Audugé pousse un cri d’alarme à partir du constat de cette dérive idéologique de l’Éducation nationale et de sa mise en oeuvre dans nos écoles, de plus en plus soumises au diktat d’associations militantes. S’appuyant sur l’expertise de médecins spécialistes, l’ouvrage apporte une réponse pratique et des conseils à tous ceux qui souhaitent d’abord préserver l’intérêt supérieur de l’enfant : le respect de son rythme de développement affectif et de ses besoins cognitifs pour grandir, détaillé ici âge par âge, et la sanctuarisation de son intimité. Un livre qui défend le rôle de l’école dans les domaines de l’instruction et de la prévention.

Lire notre article Éducation précoce à la sexualité: les parents choqués s’insurgent