Les chiffres de l’UE ont été cumulés le 14 août dernier. Qu’en est-il des Etats-Unis ? La Dre Nicole Delépine a analysé en parallèle les données américaines émises par la base de pharmacovigilance VAERS. On y décompterait plus de 12’000 décès fin juillet, dont une vingtaine chez des jeunes âgés de 12 à 17 ans.
La base de pharmacovigilance états-unienne VAERS montre de façon plus détaillée : 9048 décès pour lesquels on soupçonne les vaccins anti-Covid, alors que la pire année jusqu’ici en avait vu 605 déclarés, par suite d’un vaccin. Et 7463 personnes que les effets indésirables laissent handicapées.
C’est cohérent avec ce que semble révéler la base de données EudraVigilance pour l’Europe, avec une hausse des décès rapportés après la vaccination anti-Covid, sans commune mesure avec ce qui se voyait jusqu’ici.
Les dernières données de VAERS incluent 2 nouveaux rapports de décès d’adolescents à la suite du vaccin COVID.
Les données VAERS publiées début août par les CDC (Centers for Disease Control and Prevention) ont elles montré un total de 545 338 rapports d’événements indésirables de tous les groupes d’âge, et un nombre de décès atteignant 12 366 et 70 105 effets délétères graves, entre le 14 décembre 2020 et le 30 juillet 2021.
Les données pour les jeunes de 12 à 17 ans montrent :
– 15 741 événements indésirables au total, dont 947 jugés graves et 18 décès signalés
– 2 323 cas d’anaphylaxie, dont 99 % ont été attribués au vaccin de Pfizer
– 406 cas de myocardite et de péricardite (inflammation cardiaque) avec 402 cas attribués au vaccin de Pfizer
– 77 rapports de troubles de la coagulation du sang, avec tous les cas attribués à Pfizer
Le comité de la FDA (agence américaine du médicament) a reconnu 1200 cas d’inflammation cardiaque chez des jeunes de 16 à 24 ans et a déclaré que les vaccins contre le COVID à ARNm devraient porter une déclaration d’avertissement. (Voir aussi sur CovidHub / Pfizer & Moderna alertent les médecins suisses sur les risques d’affections cardiaques)
Il est important de noter que les personnes qui ont été vaccinées contre le COVID-19 ne devraient pas donner de sang, vu comment le vaccin et la protéine Spike sont tous deux transférés. Chez les patients fragiles recevant le sang, les dommages pourraient être mortels. » Pour l’heure, les centres de transfusion français n’abordent pas ce lourd sujet.
Il est conseillé aux vaccinés d’obtenir de leur médecin une surveillance de dimères tous les 15 jours et si ceux-ci sont élevés d’obtenir une IRM cérébrale et un examen cardiaque. Prévenir ces accidents vasculaires serait à discuter avec votre docteur, éventuellement via de petites doses d’aspirine au cas par cas en fonction de vos autres traitements etc. et pas à l’aveugle.
Rappelons une nouvelle fois que ces injections sont encore en essai thérapeutique de phase 3 en AMM (autorisatinde mise sur le marché) conditionnelle, et qu’avant la « crise Covid », l’essai d’un médicament nouveau était toujours stoppé après quelques dizaines de décès au maximum (grippe aviaire après 26 décès, H1N1 après cinquante décès, etc.).
- L’article du Dr Nicole Delépine, oncologue et pédiatre : cliquer ici