Synthèse de Covidhub, basée notamment sur l’article d’Epoch Times, la lettre d’info Santé non censurée, le site du collectif Où est mon cycle et le fil Telegram d’Alexandra Henrion-Caude
Règles beaucoup plus douloureuses et abondantes qu’avant, ininterrompues pendant des semaines ou, au contraire, absentes pendant des mois… Fausses couches, malformations ou troubles cardiaques chez les fœtus, thromboses placentaires… Les effets indésirables, parfois graves, des vaccins anti-covid sur les cycles féminins et la grossesse ont été signalés par dizaines de milliers dans le monde entier(1).
Mais malgré l’abondance des témoignages concordants (voir les dix récits ci-dessous), les femmes ont rarement été entendues. La plupart du temps les gynécologues se sont voulu rassurants. Par exemple en attestant que “la vaccination n’a pas d’effet délétère sur la fertilité”(2).
En France, le PRAC (Comité de responsabilisation en réponse à la pandémie) concluait l’an dernier: “Aucun lien de causalité entre ces troubles et la vaccination n’a été établi à ce stade”(3). Mieux encore, les experts de ce comité ajoutaient que “les troubles menstruels sont des troubles gynécologiques très courants qui peuvent survenir en l’absence de pathologies(4).”
Alexandra Henrion-Caude; vaccination et infertilité depuis 50 ans
De son côté, la généticienne Alexandra Henrion-Caude (lien sur Telegram), ex-directrice de recherche à l’Inserm, esquisse un bilan de “50 ans d’une infertilité programmée”:
Pourquoi vaccin et fertilité font-ils mauvais ménage depuis 1968 (notamment en Afrique)?
– 1972 “Task Force on Vaccines for Fertility Regulation”
– 1995 Vaccin anti-hCG empêchant le développement de bébés à terme
– 1990s SCANDALE des anti-tetanos/hCG publié en 2017 (lorsque j’en ai pris conscience…oui je sais c’est tard…)
– Des vaccins anti-tetanos contenant des anti-hCG livrés aux Philippines & au Kenya. Du coup, arrêt des programmes.
– 2012 Réactivation par Bill and Melinda Gates Foundation-London Summit on Family Planning
– 2020 Family Planning 2020
“En connaissance de ces programmes, j’ai analysé les risques que ces anti-COVID touchent aussi la fertilité: mon inquiétude étant fondée sur l’expression des récepteurs de Spike (pas que ACE2) dans les ovaires, les testicules et le placenta.
Elle s’est enracinée lorsque j’ai vu la biodistribution de Pfizer dans les ovaires et l’insistance de passer cette loi de bioéthique en force dans un contexte d’urgence sanitaire.”
Etats-Unis: des chiffres de plus en plus inquiétants
Début juillet, le Dr James Thorp, spécialisé dans la médecine materno‑fœtale, a exhaustivement analysé et vérifié les données les plus récentes du système VAERS: «Les vaccins Covid‑19, comparés aux vaccins antigrippaux, entraînent une augmentation des troubles menstruels, des fausses‑couches, des anomalies chromosomiques fœtales, de l’hygroma kystique fœtal, des malformations fœtales, des arrêts cardiaques fœtaux, arythmies cardiaques fœtales, troubles cardiaques fœtaux, anomalies de perfusion vasculaire fœtale, tests de surveillance fœtale anormaux, modèles de croissance fœtale anormaux, thrombose placentaire et mort fœtale », a déclaré le Dr Thorp à Epoch Times.
Les troubles qui se sont multipliés:
‑ les saignements utérins anormaux (irrégularités menstruelles) sont 1000 fois plus fréquents ;
‑ les fausses‑couches sont 50 fois plus fréquentes ;
‑ les anomalies chromosomiques fœtales sont 100 fois plus fréquentes ;
‑ les malformations fœtales sont 50 fois plus fréquentes ;
‑ l’hygroma kystique fœtal (une malformation majeure) est 90 fois plus élevé ;
‑ les troubles cardiaques fœtaux sont 40 fois plus fréquents ;
‑ l’arythmie fœtale est 50 fois plus fréquente ;
‑ les arrêts cardiaques fœtaux sont 200 fois plus fréquents ;
‑ la perfusion vasculaire fœtale est 100 fois plus élevée ;
‑ les anomalies de croissance du fœtus sont 40 fois plus fréquentes ;
‑ les anomalies des tests de surveillance du fœtus sont 20 fois plus fréquentes ;
‑ la thrombose placentaire fœtale est 70 fois plus élevée.
Le Dr James Thorp affirme avoir vérifié son analyse auprès d’un consultant en statistiques du département de la Défense qui a accepté de l’aider sous couvert d’anonymat.
Dr Robert Malone: l’absence de tests de sécurité
En ce qui concerne les données du VAERS, le Dr Robert Malone, spécialiste en vaccinologie et l’un des principaux contributeurs de la technologie ARNm, a déclaré récemment à Epoch Times : « La stratégie risquée qui consiste à autoriser l’utilisation d’urgence des ‘vaccins’ à ARNm avant l’achèvement des tests non cliniques rigoureux sur les animaux pour les risques de reproduction et de génotoxicité, suivie de la préconisation d’une utilisation généralisée pendant la grossesse, semble maintenant avoir entraîné des effets toxiques importants, qui auraient pu être évités sur la reproduction. »
« Les données non cliniques antérieures (modèle animal) provenant de l’ensemble des informations relatives à l’autorisation d’utilisation d’urgence de Pfizer, ainsi que l’absence de données et de tests adéquats concernant l’innocuité pendant la grossesse ont entraîné des toxicités reproductives et fœtales qui auraient pu être évitées », a ajouté le Dr Malone.
Il a rappelé que les femmes enceintes devraient éviter les vaccins Covid « expérimentaux ». Leurs nourrissons aussi ne devraient pas être vaccinés contre le Covid.
« Ces nouvelles données et analyses du VAERS montrent que les mères en âge de procréer et leurs nourrissons ont subi des dommages en acceptant les vaccins génétiques non homologués, insuffisamment testés et autorisés en urgence », a déclaré le Dr Malone.
Dr Jessica Rose: pas de données à long terme
Au début de l’année, la Dre Jessica Rose a co‑écrit une analyse du VAERS qui a été retirée d’une revue universitaire par la maison d’édition Elsevier. Elle a déclaré à Epoch Times que l’analyse du Dr Thorp correspondait parfaitement à la sienne.
« Je pense qu’il est non seulement important, mais nécessaire, de cesser d’administrer ces produits aux femmes enceintes ou allaitantes et aux nourrissons, car il n’existe pas de données de sécurité à long terme. Les données à court terme sont mauvaises. C’est ce qui ressort des documents de sécurité présentés par Moderna et Pfizer au Comité consultatif sur les vaccins et produits biologiques connexes (VRBPAC) avant l’octroi de la licence pour les enfants de 0 à 4 ans. Ils ont tous deux révélé un risque terrible », a déclaré le Dr Rose.
Christiane Northrup, médecin, membre du Collège américain d’obstétrique et de gynécologie, soutient également cette analyse.
« Ayant été en première ligne lors du désastre causé par le DES (Diéthyl stilbesterol) en tant que jeune gynécologue‑obstétricienne, je suis stupéfaite que nous soyons en train de répéter le même type d’erreur, mais à un niveau bien plus dévastateur. Les injections doivent être arrêtées immédiatement chez toutes les femmes enceintes avant que de nouveaux dommages ne soient causés sur la prochaine génération », a déclaré le Dr Northrup à Epoch Times.
Nombreux témoignages de femmes en France
Parmi les 4500 témoignages recueillis depuis janvier 2022 par le collectif Où est mon cycle (5), ces récits relevés par Thibaut Masco, de “Santé Non Censurée” illustrent le fait que, selon lui, les femmes sont “les grandes ignorées de la vaccination”:
“Ou comment leur dire poliment qu’il fallait qu’elles arrêtent de se plaindre de quelque chose inhérent à leur condition de femme. Ne vous inquiétez pas Madame, ce n’est pas grave ! (…)
Seules face au scepticisme médical
“Pourtant, quand on entend leurs témoignages, difficile d’imaginer que ce qu’elles endurent est “très courant” ou encore simplement “psychologique” (6) (…).
“Hémorragies, caillots sanguins, aménorrhée, pré ménopause à 20 ans, ménopause à 40 ans, retour de règles à 90 ans, hystérectomie (7)… Le scepticisme médical a toujours régné en ce qui concerne les effets secondaires des vaccins…
“Certes, la santé féminine est souvent liée au mental, aux émotions, aux hormones… mais ce n’est pas une raison pour sous-estimer de tels témoignages ! La vaccination de masse a démarré il y plus d’un an et c’est seulement maintenant qu’on se préoccupe de ces effets sur la santé des femmes.
“Aujourd’hui, l’Etat semble se rendre compte de son erreur : depuis le 19 juillet, l’ANSM demande aux femmes “concernées par des troubles menstruels apparus après la vaccination contre le Covid-19” (8) de les déclarer via un formulaire. Il aura fallu tout ce temps pour qu’elles se fassent entendre.
Un scandale en 2022 ! Surtout que pendant ce temps-là, le gouvernement fait également la promotion de la seconde dose de rappel pour les femmes enceintes (9).
N’est-il pas justement temps, au contraire, de prendre un peu de recul et d’envisager objectivement les risques que la vaccination fait courir aux femmes, et à la population tout entière aussi ?”
Sources :
1 Covid-19 : vaccins et perturbation des règles, des signaux et beaucoup d’incertitudes (lemonde.fr)
2 Covid-19 : le vaccin, perturbateur «potentiel» du cycle menstruel – Libération (liberation.fr)
3 Actualité – Retour d’information sur le PRAC d’août 2021 – ANSM (sante.fr)
4 Actualité – Retour d’information sur le PRAC d’août 2021 – ANSM (sante.fr)
5 https://www.marieclaire.fr/ou-est-mon-cycle-face-aux-institutions-un-collectif-questionne-les-effets-secondaires-du-vaccin-anti-covid-sur-les-regles,1427821.asp
6 https://www.instagram.com/vaccin_menstruel/?hl=fr
7 https://www.marieclaire.fr/ou-est-mon-cycle-face-aux-institutions-un-collectif-questionne-les-effets-secondaires-du-vaccin-anti-covid-sur-les-regles,1427821.asp
8 Vaccin contre le Covid-19 : les femmes qui subissent des troubles menstruels sont invitées à les déclarer (lemonde.fr)
9 https://www.20minutes.fr/monde/3328075-20220720-covid-19-seconde-dose-rappel-femmes-enceintes-personnes-risque