Lors de la rencontre des donateurs d’Essentiel News qui s’est déroulée le 15 septembre dernier, nous avions invité 3 auteurs dont les ouvrages illustrent la face cachée de la gouvernance mondiale.
L’anthropologue et expert en santé publique Jean-Dominique Michel avait présenté son dernier ouvrage “La fabrication du désastre”, qui retrace la mise en place d’un projet mondial de type totalitaire sous prétexte de politique sanitaire durant les années Covid.
De son côté, Pierre-Antoine Plaquevent, analyste politique et auteur de “Soros et la société ouverte” avait abordé ce funeste plan de gouvernance mondiale par une “élite” criminelle à la lumière des enjeux spirituels.
C’est dans ce contexte que Chantal Frei, auteure du livre “Une survivante parle” et victime d’un réseau pédocriminel, est venue témoigner de la violence rituelle pratiquée par cette “caste” qui tente d’asseoir son pouvoir par des rituels occultes.
Chantal a été élevée dans une famille sataniste qui pratiquait le trafic d’enfants. Elle a très tôt eu une double vie, celle d’une élève normale la journée, et d’une enfant abusée lors des viols et cérémonies nocturnes.
Le dimanche matin, j’allais au culte à l’église avec ma famille qui se disait chrétienne et la nuit, j’allais au culte satanique et je devais pratiquer des rituels.
Comment imaginer une telle chose? Chantal Frei explique un phénomène encore trop méconnu: la dissociation de la personnalité. Il s’agit d’un mécanisme qui se met en place pour séparer la conscience et altérer la mémoire de l’individu en réaction à la souffrance traumatique.
Pour pouvoir survivre parmi ses bourreaux et affronter une vie ‘normale’ à l’école, la fillette oubliait ce qui se passait la nuit.
Ceux qui font cela, des médecins, des psychologues, des scientifiques, savent parfaitement que cela fonctionne. Ils abusent de ce savoir et créent spécialement ces autres personnalités “alters”.
Chantal fait comprendre qu’elle a aussi été utilisée dans des “cérémonies” impliquant les dirigeants de plusieurs pays.
Leur objectif est de créer une société basée sur le trauma, parce que les personnes qui sont traumatisées sont faciles à manipuler. C’est dans les moments de souffrance où l’on se sent perdu que les bourreaux viennent donner une orientation, une direction. Moi on pouvait me dire n’importe quoi, je suivais.
Son témoignage personnel nous invite ainsi à réfléchir à la notion de société de contrôle basée sur les traumas et à revoir notre conception de la gouvernance sociale et de la personne humaine.
Mais surtout, il est un immense message d’espoir. Dans sa quête de vérité, Chantal Frei a su dépasser l’horreur et la rancoeur et c’est une personnalité chaleureuse et aimante qui nous invite à ouvrir les yeux sur la réalité.
Les nombreuses personnes qui sont venues la rencontrer lors de cette journée peuvent en témoigner.
À venir: l’intervention de Jean-Dominique Michel à la rencontre des donateurs.
À voir aussi:
Le documentaire “les survivantes” de Pierre Barnérias est toujours dans les cinémas. Chantal Frei est présente à de nombreuses représentations en Suisse. https://lessurvivantes-lefilm.com
“50 voix de violences rituelles”: une série de témoignages dirigée par Chantal Frei.
La pédocriminalité, un instrument de contrôle des cercles de pouvoir