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Carence en vitamine D: 3 fois plus d’infections, 5 fois plus de soins intensifs

Depuis le début de l'épidémie, les études indépendantes démontrant le pouvoir préventif et curatif de la vitamine D s'accumulent. Pourtant presque partout, les autorités refusent de la recommander et continuent à nous parler du vaccin

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En 2021, treize méta-analyses ont été publiées sur la corrélation entre vitamine D et Covid-19 (1). Elles rassemblent 100 études dans le monde avec un total de 3 millions de participants.

Un travail colossal dont les résultats confirment que des niveaux faibles de vitamine D sont corrélés à une incidence ou une gravité plus élevée de Covid-19.

Ainsi, les personnes avec de faibles taux sanguins de vitamine D ont 3,3 fois plus de chances d’être infectées. La probabilité des personnes atteintes de développer des stades sévères de la maladie est 5 fois plus élevée lorsqu’elles présentent des carences en vitamine D. On sait que, par exemple, cette substance est en insuffisance chez huit Français sur dix.

Comme pour les traitements à l’hydroxychloroquine et à l’ivermectine, des “contre-études” affirmant qu’il n’y a aucun lien entre le niveau de vitamine D et l’incidence du Covid-19 sont régulièrement publiées, provoquant la perplexité et le doute. Par exemple: https://www.nutraingredients.com/Article/2021/11/23/Current-evidence-insufficient-to-link-vitamin-D-supplementation-to-COVID-19-outcomes-Meta-analysis
Dans ce cas il est nécessaire de vérifier si les auteurs de telles études ont des liens ou des conflits d’intérêt avec les promoteurs des vaccins (ce qui s’est largement avéré dans le cas des deux traitements cités).

La vitamine D préactivée évite les soins intensifs

Par ailleurs, deux études espagnoles confirment ce que les politiques s’abstiennent de dire depuis 18 mois: la vitamine D préactivée a limité les admissions en soins intensifs (1)
En juin 2020, une étude pilote réalisée sur 76 patients à l’hôpital Reina Sofia de Cordoue indiquait que l’ajout de vitamine D pré-activée, sous la forme calcifédiol, était efficace contre le Covid, si elle était administrée dès le début de l’hospitalisation.

Plus tard à Barcelone, 838 patients atteints du Covid, répartis dans 2 groupes: l’un avec et l’autre sans vitamine D (calcifédiol à doses médicamenteuses) dans leur protocole de soin. Dans le premier groupe, seuls 4,5% des malades ont été admis en soins intensifs, contre 21% dans le second (près de 5 fois plus).

Les auteurs des études expliquent comment la stimulation des récepteurs à la vitamine D pré-activée atténue la dysrégulation inflammatoire qui génère le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Elle réduit donc les risques de complications (difficultés à respirer, réanimation, masques respiratoires…)

D’après eux, la stimulation des récepteurs de la vitamine D pré-activée diminue la tempête des cytokines, entrave les dysrégulations de la coagulation et de l’enzyme de conversion de l’angiotensine. Donc cela réduit les risques d’inflammation et de thrombose.

Le moyen le plus simple et le moins cher de préserver le système immunitaire

Pour rappel, la vitamine D3 a de nombreux effets essentiels pour des mécanismes physiologiques de base: absorption du calcium et du phosphore, dentition, ossature, fonction musculaire, etc. Mais elle permet avant tout de maintenir le fonctionnement normal du système immunitaire: processus de division cellulaire (permettant la fabrication de globules blancs), niveau optimal des défenses naturelles, rétablissement de défaillances du système immunitaire.
Aujourd’hui, la vitamine D3 apparaît aussi comme un élément indispensable dans les protocoles de désintoxication vaccinale (2)
(1)www.jim.fr › e-docs › la_vitamine_d_pre_activee_ou_calcifediol_confirme_sa_grande_efficacite_chez_les_patients_hospitalises_pour_covid_189801 › document_edito.phtml (abonnement nécessaire)
(2) “Vaccins antiCovid : Votre guide détox” – PureSanté, 10.2021
NB une partie des informations ci-dessus a été tirée d’un texte des Laboratoires Olliscience