Notre éditorialiste Christian Campiche décrit l'entreprise d'endoctrinement orchestrée selon lui par nos autorités grâce aux concours de boîtes de communication spécialisées.
Face à la fragilisation des hôpitaux, à la peur d'une désertion des soignants à la veille de l'hiver et au casse-tête organisationnel, certains gouvernements lâchent du lest. Le président américain, lui, vient d'annoncer l'injection impérative pour les travailleurs de la santé jusqu'au 4 janvier prochain.
Le procureur général de l'Etat émet un avis juridique selon lequel les prestataires de soins de santé du Nebraska peuvent légalement prescrire ces remèdes pour le traitement de la COVID. Il contredit ainsi la position de nombres d'agences et de responsables sanitaires dans le monde.
Une fraude de grande ampleur, impliquant la société pharmaceutique Pfizer, son sous-traitant, la société Ventavia Research Group chargée des essais sur le "vaccin", et la Food and Drug Aministration (FDA), a été révélée hier par le British Medical Journal.
Dans une tribune publiée par le magazine américain Newsweek, deux sommités de l'épidémiologie contestent la politique du Dr Anthony Fauci. Celle-ci est pourtant devenue la référence pour la quasi-totalité des gouvernements occidentaux. "Le Dr Fauci s'est trompé sur des questions majeures d'épidémiologie et de santé publique. La réalité et les études scientifiques l'ont maintenant rattrapé."
Le Dr Peter McCullough a effectué récemment une présentation sur la réponse médicale au Covid devant l'Association des médecins et chirurgiens des États-Unis. Un tour d'horizon exhaustif et critique de la part du cardiologue le plus cité au monde dans la littérature scientifique. Lequel évoque une véritable "crise de la compassion" en médecine.
Le mois dernier, les Amis de la Constitution dénonçaient dans un communiqué la «censure» de leur affichage contre le pass sanitaire par les autorités cantonales. Que s’est-il passé?
La votation (référendum) contre le durcissement de la loi Covid rendra son verdict le 28 novembre. La campagne bat son plein et les opposants à la loi sortent des argumentaires étayés qui semblent convaincre de plus en plus au sein de la population.
La Suisse ne connaît pas de cour ou de conseil constitutionnel, et la plus haute juridiction du pays (le Tribunal fédéral) n'est pas habilité à juger de la constitutionnalité des lois. C'est donc au peuple de faire ce travail soulignent les opinants, pointant de nombreuses violation de la Constitution dans la loi.