La Dre Carole Cassagne, de l’IHU Méditerranée-Infection, présente les données actuelles sur les effets observables, protecteurs et indésirables des injections géniques anti-Covid.
Conclusion: nous manquons de données de qualité pour poser des évaluations robustes. En général, on constate peu de différence significative entre pays à haute ou à faible vaccination. Au contraire, des pays très “zélés” comme Israël, les Seychelles, la Mongolie et le Royaume Uni ont des cas et des décès supérieurs à la moyenne, alors que le Chili et les Emirats Arabes Unis – très “vaccinateurs” aussi – présentent une baisse des infections.
La plupart du temps, les données disponibles ne distinguent pas les différents variants dominants dans chaque pays, les tranches d’âge ou l’intensité des soins précoces. Enfin, les déclarations d’effets indésirables des injections varient de 1 à 50 selon les pays: 701 aux Pays-Bas et 15 en Pologne pour 100’000 “vaccinations”. En plus, on ne répertorie guère la gravité des infections qui seraient évitées par la piqûre, ni les âges concernés par les effets secondaires.
