L’anthropologue de la santé démonte un par un les arguments de la doxa sanitaire dans son nouveau livre.
Dans « Autopsie d’un désastre – Mensonges et corruption autour du COVID », son dernier ouvrage paru aux éditions Marco Pietteur, Jean-Dominique Michel dresse le bilan de la communication qui a accompagné et suivi la gestion de la crise Covid-19.
Avec la volonté d’apporter de la clarté dans une réalité complexe, l’auteur reprend tous les éléments de la doxa un par un dans le but d’en proposer un récit alternatif qu’il juge plus conforme à la réalité scientifique et aux faits. Ce livre contient plus de 1000 références scientifiques et journalistiques offrant aux lecteurs des arguments construits sur des sources fiables.
Trouver la cause réelle du désastre
En tant qu’anthropologue de la santé et expert en santé publique, Jean-Dominique Michel cherche la cause réelle du problème à travers l’autopsie d’une crise sanitaire qui n’aurait jamais dû exister, selon lui, si…
- … nous avions suivi ce que nous savions devoir faire pour gérer une épidémie respiratoire comme la Covid, un savoir-faire présenté dans TOUS les plans pandémie (y compris celui de l’OMS datant de 2019) au lieu de faire exactement l’inverse. C’est-à-dire, si nous avions appliqué les deux règles cardinales de l’épidémiologie des maladies infectieuses : laisser les médecins généralistes soigner les gens et perturber le moins possible le fonctionnement de la société.
- … la gestion du Covid-19 en France avait été confiée aux meilleurs des vrais spécialistes, soit au Pr. Didier Raoult pour la prise en charge médicale, au Pr. Christian Perronne pour la politique de santé publique et au Pr. Laurent Toubiana pour l’épidémiologie. Dans cas de figure, la France aurait obtenu les meilleurs résultats de tous les pays occidentaux.
Interviewé par la chaîne Resilients.TV
À l’occasion de la sortie fin 2023 de ce 2e livre consacré à la crise du Covid, l’auteur a été interviewé par la chaîne Resilients.TV. Il revient sur les points clés de son ouvrage :
“Tout ce qu’on nous a dit au sujet du Covid est faux”
À propos de la gravité de l’épidémie, que ce fût au moment de son apparition, lors des traitements précoces, des confinements et des masques… tout est faux. Selon les mots de Jean-Dominique Michel lors de son interview sur la chaîne Resilients.TV :
Il y a eu une mise en scène totalement fausse et fallacieuse visant à faire paniquer les gens de façon à ce qu’ils acceptent toutes les mesures sanitaires.
Le plus grand écueil à la prise de conscience pour la plupart des gens, c’est immensité du mensonge.
Car en réalité…
- L’année 2020 n’a pas connu de surmortalité particulière, contrairement aux années suivantes.
- La létalité du Covid-19, selon les chiffres officiels de l’OMS, aura finalement été comparable à celle de la grippe annuelle banale.
- Les personnes en bonne santé âgées de moins de 70 ans n’ont jamais rien risqué.
- Les hôpitaux n’ont jamais été inhabituellement surchargés.
- Le Pr Delfraissy, président du Conseil scientifique nommé par Emmanuel Macron, a récemment reconnu que les autorités s’étaient trompées sur l’utilité du « vaccin » anti-Covid. Et qu’elles savaient déjà qu’il n’empêchait pas la transmission quand elles affirmaient l’inverse pour imposer le passe sanitaire.
- Les contraintes exercées sur les personnes pour qu’elles se soumettent aux injections anti-Covid les ont privées de la possibilité d’un consentement libre et éclairé et ont violé le droit de la santé.
- Les signalements de pharmacovigilance relative aux injections géniques présentées comme des « vaccins » (alors qu’elles n’immunisent pas) sont d’un nombre et d’une gravité sans précédents.
- …
“Un crime d’État contre les démocraties”
L’auteur poursuit en substance: Face à la gravité du mensonge et des faits (allant jusqu’au meurtre des personnes âgées) produits par les gouvernements, force est de constater que nous nous trouvons devant un crime d’État contre les démocraties. Ce n’est pas le premier… mais il est toujours important de pouvoir le nommer.
Dans son livre « Aux origines de la théorie du complot », Lance deHaven-Smith montre que l’étiquette de complotiste a été généralisée par la CIA après l’assassinat du Président Kennedy. Elle est utilisée systématiquement par la presse quand il y a des crimes d’État contre la démocratie pour disqualifier ceux qui les dénoncent. Quand il y a une floraison d’étiquettes complotistes, nous sommes à peu près sûrs que nous nous trouvons face à un crime d’État contre la démocratie.
“J’ai reçu mille fois plus de soutiens que d’attaques”
Et l’auteur d’insister: Lorsqu’une voix dérange et qu’elle ne peut pas être attaquée sur le fond de son analyse parce que ses propos sont consistants, ceux qui tirent les ficelles vont étudier le profil de cette personne pour trouver le meilleur angle d’attaque afin de porter atteinte à sa réputation.
Jean-Dominique Michel l’avoue sans détours: il a au départ très mal vécu cette relation avec les médias. Il est passé du jour au lendemain du statut d’expert reconnu à une situation qui lui a valu d’être traîné dans la boue à travers des accusations délirantes. Cependant, la joie d’avoir pu participer à aider des gens à ne pas être captés par l’hypnose collective, en faisant entendre une autre voix que celle du narratif officiel, a largement dépassé la souffrance engendrée par le rejet médiatique.
J’avais conscience du soutien que je recevais de la part de ces gens, et cela s’est avéré salvateur face à l’épreuve de la diffamation. En définitive, j’ai reçu mille fois plus de soutiens que d’attaques.
