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Affaire Brigitte Macron: et si la France était «hackée» par des maîtres-chanteurs?

Emmanuel Macron ou la double face de Janus?
Qui oeuvre dans les coulisses de la France?
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Article d’Isabelle Alexandrine Bourgeois pour Essentiel News, journaliste et fondatrice du Média en ligne Planète Vagabonde

Cet article examine une hypothèse, sans affirmations. Il se fonde sur un recoupement d’informations tangibles permettant de discerner une piste intéressante. En remontant le fil de l’analyse, il propose un enchaînement de questions et laisse à chacun la liberté de tirer ses propres conclusions.

Si le dossier sur Brigitte Macron est digne d’intérêt, c’est que son traitement pourrait mettre en lumière, non pas les chromosomes de la femme du président qui sont finalement d’importance secondaire, mais plutôt la question de l’influence des services secrets américains, notamment la CIA, sur les gouvernements dans le monde et celui de la France en particulier.

Petit rappel du contexte : la journaliste américaine Candace Owens a abordé l’affaire «Brigitte est un homme» dans une deuxième émission, après une première introduction le vendredi 31 janvier. En résumé, pour la journaliste et ses informateurs français, Brigitte Macron serait un homme transsexuel au passé trouble. Plus étonnant encore, elle serait en réalité son frère de sept ans son aîné, Jean-Michel Trogneux, qui aurait effectué une transition de genre à la fin des années 80. Mais remontons dans le temps et commençons par dresser un bilan de l’ère macronienne.

Depuis son entrée en fonction en 2017, le président Emmanuel Macron a pris plusieurs décisions politiques et économiques qui se sont alignées sur les positions du gouvernement américain plutôt que de servir les intérêts des Français. Par exemple, la France a renforcé son engagement au sein de l’OTAN, une alliance dirigée par les États-Unis, en augmentant ses dépenses militaires et en participant activement aux missions de l’alliance. L’alignement de la France sur l’OTAN ces dix dernières années a affaibli son autonomie stratégique, accru ses dépenses militaires, et aggravé les tensions nationales et internationales. Cet engagement a également pesé sur les finances publiques et contribué à l’explosion des prix de l’énergie en raison notamment des sanctions économiques contre la Russie. Pour les Français, cela s’est traduit par une forte baisse du pouvoir d’achat, des tensions géopolitiques accrues et une dépendance indéniable aux décisions militaires et économiques américaines.

Paris et Washington ont également collaboré étroitement dans la soi-disant «lutte contre le terrorisme», notamment au Moyen-Orient et en Afrique, en partageant des renseignements et en menant des opérations conjointes, privant la France de toute autonomie d’action et de souveraineté. En suivant les États-Unis dans leurs interventions militaires, elle s’est aussi exposée à des représailles terroristes.

En 2017 toujours, le président Macron a exprimé sa volonté de travailler avec les États-Unis pour «stabiliser la Syrie» (en soutenant des milices djihadistes salafistes), jusqu’à la chute du régime Assad en décembre 2024. L’isolement économique total de la Syrie imposé par les États-Unis a empêché la France d’exercer la moindre influence diplomatique et économique après la guerre.

Quant à la participation de la France aux sanctions contre la Russie dans le conflit ukrainien avec l’interdiction du gaz et du pétrole russe, elle a provoqué une hausse importante des prix de l’énergie, la flambée des coûts de l’électricité, du gaz et des carburants, ce qui a directement affecté les ménages français. En outre, galvanisée par son allégeance à l’OTAN, la France a fourni pour plusieurs milliards d’euros d’aide militaire (chars, obus, systèmes de défense) et économique à l’Ukraine, alors qu’elle souffre déjà d’un endettement record. Des associations caritatives et des centres d’hébergement ont été réorientés vers l’accueil des Ukrainiens, au détriment d’autres populations précaires (SDF, demandeurs d’asile africains, etc.).

L’une des décisions les plus incompréhensibles prises par Emmanuel Macron, alors ministre de l’Économie, fut la vente en 2014 au groupe américain General Electric, pour 12,35 milliards d’euros, de la division énergie d’Alstom, un acteur stratégique français spécialisé dans le transport et l’énergie, dont les turbines nucléaires, les centrales thermiques et hydroélectriques. Pourtant, la branche énergie d’Alstom était considérée comme stratégique, notamment en raison de son rôle dans la production des turbines pour les sous-marins et les centrales nucléaires français. Cette mesure a été vécue par beaucoup de Français comme une trahison de plus.

Pantin ou chef d’État?

En résumé, après un quinquennat marqué par deux crises majeures (celles des Gilets jaunes et du Covid-19), le démantèlement du système de santé (5 700 lits d’hôpitaux supprimés en 2020, environ 15 000 soignants suspendus), 600 milliards d’euros de dette, un rapport dette/PIB de 120 %, des scandales tels que l’affaire Benalla, McKinsey et la méga-commission secrètement perçue par Emmanuel Macron lorsqu’il était banquier d’affaires chez Rothschild, de nombreuses trahisons et un mépris affiché envers les Français, la question se pose des objectifs réels de la politique mise en œuvre par le président. En effet, il n’agit manifestement pas en faveur des intérêts français. Monsieur Macron serait-il simplement incompétent? Ou serait-il un menteur qui prétend travailler pour la nation, alors qu’il sert en fait d’autres patrons? Est-il vraiment maître de ses agissements? Intéressons-nous à l’analyse du psychiatre italien Adriano Segatori qui a empoigné cette difficile question.

Psychopathie et perversion narcissique

Adriano Ségatori est catégorique : il explique l’état mental actuel d’Emmanuel Macron par un acte d’agression sexuelle commis durant son adolescence.. Sa liaison avec son professeur de lettres Brigitte, de 24 ans son aînée, serait à l’origine de ses agissements irresponsables. Traumatisme, selon lui, destructeur, enclenchant un processus de psychopathie. Loin de la «romance à l’eau de rose» entre un professeur et son élève, vendue par les médias de masse, il s’agirait plutôt d’un «mariage réparateur d’un viol». Cet acte en soi aurait empêché Emmanuel Macron de grandir de façon normale, et l’aurait transformé en un «enfant dans un corps d’homme». Selon lui, l’origine de la psychopathie du président français est donc liée à un traumatisme de pédophilie. Et l’individu, ayant dépassé «les tabous» en se mariant avec son professeur de théâtre, serait devenu omnipotent : plus rien ne pourrait l’arrêter. «Un narcissisme qu’il n’est pas interdit de définir comme malveillant», avance le professeur italien.

De son côté, Michel Fize, sociologue, politologue, auteur de «Un président anormal, essai sur la mégalothymia d’Emmanuel Macron» (Ed. Perspectives libres, novembre 2024) n’épargne pas non plus le chef d’État : «À partir de l’examen de ses discours, de ses postures, gestes, mimiques – matériaux méthodiquement analysés –, nous avons pu mettre à jour un certain nombre de traits de caractère distinctifs qui dessinent le portrait d’un homme dominant, voulant toujours avoir raison, croyant de bonne foi que pour agir, il suffit de vouloir, n’accordant aucun crédit à la parole de l’autre, simple faire-valoir, miroir de soi, arrogant, parleur infatigable, méprisant jusqu’à l’insulte et la grossièreté.»

Et qu’en est-il de Brigitte?

Vu ce qui précède, le cas de sa femme est digne d’intérêt. L’état civil de Brigitte Trogneux est inaccessible. Sa date officielle de naissance, le 13 avril 1953, coïncide avec le lancement du programme MK-Ultra par la CIA. Hasard ou marquage occulte? Comment expliquer la disparition soudaine de son frère Jean-Michel et l’apparition fulgurante de Brigitte dans les années 1980? Pourquoi est-ce que personne n’a trouvé de photos de Brigitte Macron jeune, ni surtout de photos d’elle avec son frère?

Selon certaines sources, une fiche de recensement militaire datée du 12 février 1963 indiquerait que Jean-Michel Trogneux, né en 1945, résidait à Alger à cette époque avant de se rendre à San Francisco. Aurait-il été contacté par la CIA à ce moment-là? Est-ce que Jean-Michel Trogneux aurait été victime du programme MK-Ultra, un projet de la Central Intelligence Agency (CIA) visant à développer des techniques de contrôle et de programmation de l’esprit?

Est-ce que Brigitte Macron, alias Jean-Michel Trogneux, aurait été recruté(e) par les services secrets américains? Serait-elle aussi issue d’un projet de manipulation psychologique? Est-ce que la relation d’Emmanuel Macron avec sa maîtresse d’école aurait fait partie d’un plan pour conduire au pouvoir un psychopathe? N’est-ce pas dans ce vivier de gens manipulables et manipulateurs, dans cet incubateur d’élites politiques adoptant des comportements et des mœurs inusuels, que les services secrets peuvent se servir allègrement pour placer des espions ou des pions aux postes dirigeants des pays ciblés?

La manipulation, une arme de destruction

Dans les années 50, en plein cœur de la guerre froide, l’idée de MK-Ultra était d’anéantir la personnalité d’un individu, de le déprogrammer pour ensuite pouvoir le contrôler mentalement à des fins militaires. Il faudra attendre une série d’articles du journaliste Seymour Hersh au sujet des activités illégales de la CIA, au milieu des années 1970, pour connaître l’existence du MK-Ultra et ses atrocités commises sur des cobayes humains innocents. Sa pleine teneur n’a été révélée qu’en 2007. Les dossiers rendus publics aujourd’hui expliquent comment les protagonistes de ce programme élaboraient des «méthodes physiques produisant des chocs et de la confusion» sur les victimes ainsi que des substances qui «modifiaient la structure de leur personnalité» pour en faire des esclaves stratégiques.

Candace Owens, dans son émission, laisse entendre que des agents de l’ombre auraient cherché à infiltrer les sommets du pouvoir pour détruire les États-nations. Est-il donc possible d’envisager que Jean-Michel Trogneux (Brigitte Macron), grâce à une transition identitaire orchestrée et une protection institutionnelle au plus haut niveau, aurait une influence sur la personnalité du président français pour le compte de la CIA? Qui manœuvre qui? Et si le couple était lui-même manipulé?

Agents secrets : les profils recherchés

Il faut savoir que les services de renseignement, qu’il s’agisse de la CIA, du MI6, de la DGSE ou du FSB (ex-KGB), ont historiquement montré un intérêt pour le recrutement de profils dits «atypiques», ou ayant des mœurs considérées comme «non conventionnelles». Ces individus possèdent en effet des qualités idéales pour mener des opérations clandestines, manipuler, survivre sous pression et dissimuler des secrets. Ils sont souvent habitués à mener une double vie, savent dissimuler leur véritable nature dans un environnement hostile, ce qui est une qualité essentielle pour un espion ou un agent infiltré.

Par exemple, Guy Burgess, un espion britannique membre du réseau des «Cinq de Cambridge» (agents doubles pour l’URSS), était homosexuel à une époque où cela était réprimé. Sa capacité à cacher cet aspect de sa vie l’a aidé à dissimuler son rôle d’agent soviétique. Aussi, un agent dont la vie privée pourrait être révélée au grand public est plus susceptible d’obéir aux ordres et de rester fidèle pour éviter un scandale.

Par exemple, aux États-Unis et en URSS pendant la guerre froide, des homosexuels étaient ciblés, car leur orientation pouvait être utilisée comme moyen de pression (chantage, «kompromat» en URSS). Les individus marginalisés développent souvent une résilience psychologique, une capacité à s’adapter, et un esprit indépendant. Ces qualités sont également recherchées pour les missions clandestines, qui requièrent de savoir survivre sous couverture, manipuler et improviser.

Souvent, les profils excentriques ne sont pas perçus comme une menace par l’adversaire, ce qui facilite l’infiltration. C’est le cas de Mata Hari, danseuse et courtisane, dont les recruteurs ont utilisé la liberté sexuelle et l’accès privilégié aux élites européennes pour obtenir des informations sensibles pendant la Première Guerre mondiale.

Les contrôleurs démasqués?

Ceux qui conseillent Macron n’ont pas mesuré les conséquences du silence dans lequel se replie le couple présidentiel aujourd’hui. Ce silence nourrit les mêmes spéculations que ceux qui ont entouré Michelle Obama aux Etats-Unis, et attise chez les médias indépendants un besoin frénétique de compréhension.

La principale révélation de cette longue enquête, minutieusement menée par Candace Owens aux Etats-Unis et par Xavier Poussard et Natacha Rey en France, permet de mesurer l’écart entre le «narratif» officiel et la réalité telle que dévoilée par un faisceau incontestable d’indices. On comprend à quel point les apparences peuvent cacher des faits qui n’ont aucun rapport avec ce qui est présenté par les médias de masse. Les faits qui ont déjà été démontrés, en particulier en ce qui concerne la gestion du pays par Emmanuel Macron, révèlent au minimum la trahison d’un chef d’État qui mène une politique à l’encontre des intérêts de son pays – tant au niveau social, que financier, économique, et militaire – et qui pourrait bien conduire à la chute du pays.

Dernière question : et si le thème de Brigitte n’était justement pas instrumentalisé pour détourner l’attention du public du scandale de fond, l’abandon de tous les Français?


Ce n’est pas la première fois que des observateurs crédibles se posent la question de savoir si des femmes au sommet du pouvoir sont en réalité des travestis. Le phénomène a récemment pris le nom de «transvestigation», mais il est en fait très ancien, et concerne surtout les familles royales européennes.

Révélations de la journaliste américaine Candace Owens
(pour activer les sous-titres en français, cliquer sur la roue en bas à droite,
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