Appel à l’aide pour décoder 10 000 pages de documents confidentiels de Moderna à l’EMA
James Roguski, chercheur et auteur, et la juriste autrichienne Silvia Behrend ont réussi à obtenir des documents soumis par Moderna à l’EMA (Agence européenne des médicaments). L’ensemble fait environ 10 000 pages et semble contenir de nombreuses informations accablantes.
Apparemment, le contenu pourrait apporter des nouveautés par rapport aux informations déjà obtenues par d’autres groupes à l’étranger, puisque c’est la première fois que l’on parvient à obtenir des données européennes.
Pour démarrer, il s’agit de lire un document (en anglais) et d’identifier les pages contenant des informations intéressantes à soumettre à un plus grand nombre. Selon Roguski ‘il faut être courageux’ car ces documents contiennent les signalement de nombreux cas tragiques.
Un premier exemple choquant
En lisant quelques pages au hasard, James Roguski est déjà tombé sur des commentaires atterrants. Parmi les signalements que Moderna a fourni à l’EMA, on note par exemple celui d’une dame âgée de 85 ans « n’ayant pas de condition médicale particulière » qui est décédée 3 jours après une vaccination. La dame avait déjà reçu deux doses de Vaxzevria d’Astra Zeneca et, pour une raison que l’on ignore, on lui avait administré Spikevax de Moderna comme 3ème vaccin.
Elle avait déclenché une embolie pulmonaire dans les heures suivant l’injection et est décédée au 3ème jour d’un oedème pulmonaire aigu.
Au bas du rapport transmis à l’EMA, figure le commentaire suivant du fabriquant:
Aucun rapport d’autopsie n’a été rendu. « La balance bénéfice-risque de mRNA1273 n’est pas affectée par ce signalement. La gravité de l’évènement a été classée par l’autorité régulatrice (du pays membre) comme un risque mortel et a été retenue dans le cadre du rapport d’évaluation du produit.

La négligence des agences
Dans un entretien avec le Dr Joseph Sansone, Roguski explique que ceci démontre à quel point le travail de l’EMA et des agences de règlementation en général, doit être remis en question; d’autant que les technologies ARNm poursuivent leur offensive. Aux États-Unis, les vaccins Covid ont reçu une autorisation de mise sur le marché officielle en septembre dernier, malgré le fait que Robert Kennedy Jr et son administration aient reconnu que les vaccins ne sont pas efficaces pour lutter contre des maladies respiratoires, ni pour stopper la transmission ou l’infection et que la balance bénéfice-risque est négative.
En principe, ces autorisations officielles de mise sur le marché, qui remplacent les autorisations conditionnelles délivrées en urgence, exigeaient qu’une douzaine d’études de suivi soient présentées par les fabricants. Apparemment un certain nombre d’études ont été réalisées, mais la FDA (Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux) refuse de les rendre publiques. Tout comme les Pfizer papers qui ont été rédigés à partir des données fournies par Pfizer à la FDA, les données de Moderna obtenues auprès de l’agence européenne pourraient donc se révéler précieuses pour la suite des efforts visant à retirer les technologies ARNm du domaine de la santé publique.
Appel à collaboration de James Roguski
Travaillons tous ensemble pour analyser les documents actuellement disponibles, tout en exigeant la publication des documents qui nous sont encore cachés.
J’appelle la communauté scientifique et médicale, le grand public et en particulier mes lecteurs qui me soutiennent, à agir immédiatement et massivement:
Contactez-moi directement si vous souhaitez apporter votre aide.
Analysez vous-même les informations contenues dans les documents.
Faites votre propre évaluation et tirez vos propres conclusions.
James Roguski demande qu’on le contacte directement
par email: James.Roguski@gmail.com
par téléphone ou SMS 001 310-619-3055 (numéro aux États-Unis)
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