Plus de 2000 scientifiques réclament un moratoire sur les vaccins à ARNm

Republication de l’article du média indépendant belge BAM diffusé le 15 octobre 2025:

Ce ne sont plus « des Allemands » ou « des Japonais »: ce sont désormais plus de 2000 scientifiques internationaux qui exigent un moratoire immédiat sur les vaccins à ARNm. Le 12 octobre 2025 à 15h, trente experts représentant vingt pays ont diffusé simultanément sur de nombreuses plateformes une conférence de presse internationale réclamant l’arrêt immédiat des vaccins à ARNm. Parmi eux, le Dr Alexandra Henrion‑Caude et le Dr Peter McCullough.

Le 9 octobre 2025, un événement sans précédent a été enregistré sous le titre « Avertissement sur les risques liés à la sécurité des médicaments: Halte à l’ARNm – Moratoire immédiat – Un voyage mondial à la recherche de la vérité ». Trente experts en médecine, sciences de la vie, droit, psychologie et économie se sont exprimés au nom de près de 10 000 signataires, dont plus de 2 000 scientifiques et médecins. Leur message: un appel urgent à un moratoire sur la technologie de l’ARNm.

Quatorze thèses pour rétablir la confiance

Après l’introduction du psychologue allemand, le Dr Dirk V. Seeling, le professeur Paul Cullen, médecin irlandais, spécialiste en biologie médicale et en médecine interne, a ouvert la conférence en présentant les 14 thèses du moratoire. Ces thèses constituent autant de défis lancés aux autorités réglementaires, qui devraient les réfuter pour convaincre les signataires de la sécurité des vaccins à ARNm. Le Pr Cullen a appelé la communauté internationale à « rétablir les fondements de la sécurité des médicaments et à promouvoir la recherche indépendante avant d’utiliser de nouveaux vaccins génétiques ».

Des expertises multiples convergentes

Les interventions ont couvert un large spectre de préoccupations scientifiques et médicales:

Efficacité et dangers des vaccins

Le Dr Peter McCullough, interniste, cardiologue et épidémiologiste américain, a rappelé l’existence de protocoles thérapeutiques efficaces et les risques de la vaccination en période d’épidémie. Il a présenté de nombreuses preuves des conséquences mortelles qu’il attribue à la vaccination à ARNm.

Problèmes de fabrication

Le Pr Gerald Dyker, professeur de chimie organique en Allemagne, a critiqué les défauts de fabrication et la contamination des produits à ARNm, soulignant l’absence de preuves de qualité suffisante.

Risques toxicologiques et génétiques

La Dre Laura Teodori, biologiste et ancienne directrice de recherche en Italie, a insisté sur la nécessité d’une recherche toxicologique indépendante concernant les nanoparticules lipidiques utilisées dans ces vaccins. La généticienne française Dr Alexandra Henrion‑Caude a pour sa part mis en lumière les risques génétiques non pris en compte et leurs conséquences potentielles à long terme.

Intégration génétique involontaire

Le Pr Klaus Steger, biologiste moléculaire allemand, a présenté de nouvelles découvertes inquiétantes sur l’intégration involontaire de séquences génétiques dans le génome humain.

Effets secondaires neurologiques

Le Dr Helen Lasn, neuroscientifique estonienne, et le Dr Jeanne Annette Rungby, médecin ORL danoise, ont documenté les effets secondaires neurologiques et immunologiques observés chez les patients vaccinés.

Responsabilités juridiques et politiques

La dimension juridique n’a pas été oubliée. Le Dr Angelika Mihalik, avocate hongroise, a insisté sur la responsabilité des gouvernements et des fabricants en matière de sécurité des médicaments. Elle a réagi avec urgence aux récents cas graves de maladies chez des enfants en Hongrie, soulignant la nécessité d’une action immédiate.

Au niveau européen, le Dr Maria Hubmer‑Mogg a présenté les revendications du mouvement « Make Europe Healthy Again » (MEHA), qui défend activement la sécurité des patients au Parlement européen.

Un appel à la recherche fondée sur les preuves

Le Dr Andreas Sönnichsen, médecin autrichien, a lancé un appel vibrant pour un retour à la recherche médicale fondée sur des preuves solides et à des procédures rigoureuses d’approbation des médicaments. Christof Plothe, ostéopathe et chercheur indépendant au World Council for Health Europe, a souligné l’urgence d’une coopération internationale pour lutter contre les effets secondaires des vaccins.

Une mobilisation véritablement mondiale

L’initiative a reçu des contributions d’experts du monde entier: le Dr Atapol Sughondhabirom (psychiatre, Thaïlande), le Dr Jun Ueda (biologiste moléculaire, Japon), la professeure Robyn Cosford (Australie), la professeure Gigi Foster (économiste, Australie) et Lynda Wharton (journaliste, Nouvelle‑Zélande) ont tous apporté leur témoignage et leur expertise.

Les demandes du moratoire

Les près de 10 000 signataires du « Moratoire sur l’ARNm » réclament la suspension immédiate de tous les vaccins génétiques à ARNm jusqu’à ce qu’une réévaluation transparente du rapport bénéfice/risque soit réalisée. Les signataires insistent particulièrement sur:

Une obligation scientifique

Cette mobilisation soulève une question essentielle souvent occultée dans le débat public: investiguer d’éventuels effets indésirables n’est pas une démarche « anti‑vaccin » ou conspirationniste, c’est la base même du processus pharmaceutique et scientifique. Comme le soulignent les signataires, la pharmacovigilance rigoureuse constitue le fondement de toute sécurité des médicaments.

Pharmacocinétique et pharmacodynamique: le chaînon manquant

Les 14 questions posées par les scientifiques portent sur des aspects techniques fondamentaux: où, pendant combien de temps et en quelle quantité la protéine Spike induite par le vaccin est‑elle produite dans l’organisme? Ces données de pharmacocinétique et de pharmacodynamique, qui constituent normalement le socle de toute autorisation de mise sur le marché, font défaut pour les vaccins à ARNm.

Des alertes ignorées depuis 2020

Le document d’avertissement rappelle qu’en novembre 2020, des scientifiques avaient déjà lancé une mise en garde dans la revue spécialisée allemande « Arzneimittelbrief »: « À notre avis, un débat sur les problèmes liés à l’accélération des essais en matière de sécurité des vaccins ainsi qu’une harmonisation des critères d’évaluation nécessaires, accompagnée d’une consultation publique d’experts critiques sont indispensables. »

Cette exigence élémentaire n’a pas été suivie d’effet. Cinq ans après le début de la campagne de vaccination, certains aspects essentiels liés à la sécurité ne sont toujours pas clarifiés. Les signataires ne demandent pas l’interdiction définitive de cette technologie, mais simplement l’application des standards scientifiques habituels: des études de haute qualité, des données transparentes, une évaluation indépendante et rigoureuse.

Rétablir la rigueur scientifique

Comme le souligne le document, « la sécurité des médicaments repose sur la fiabilité et la rigueur. La précipitation dans le processus de développement ne doit pas se faire au détriment d’un examen minutieux, d’une évaluation indépendante et d’une évaluation à long terme de la tolérance. »

Cette initiative représente ainsi un retour aux fondamentaux de la médecine: le principe de précaution, l’évaluation objective des risques et des bénéfices, et surtout, le refus de sacrifier la rigueur scientifique sur l’autel de l’urgence. Les scientifiques signataires appellent à une pause permettant une évaluation rigoureuse et indépendante avant toute nouvelle utilisation de ces produits, particulièrement pour les vaccinations infantiles.

Pour en savoir plus: www.mwm‑proof.com

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3 commentaires

  1. L’importance des mots

    « Au commencement était le Verbe » dit le texte, une chose existe d’abord dans l’esprit avant d’être dans le monde matériel. La novlangue, selon le terme repris de « 1984 » d’Orwell, c’est à dire la langue de la manipulation de masse, cherche à briser maladroitement ce fonctionnement naturel de la Vie. C’est pourquoi on finit par ne plus voir que des cerveaux sur pattes (qui répètent par mimétisme), c’est à dire des egos, se manifester. C’est le plus souvent, soit tout dans le cérébral, soit tout dans l’émotionnel, et jamais de conscience, et puis surtout jamais d’équilibre du tout, ce qui est nécessaire pour avoir la meilleure perception possible. Résultat, c’est tout « caca » partout et on subit les conséquences de notre refus de vivre en harmonie avec la Vie.

    Les mots on un sens. « Science » fait référence à la connaissance, au savoir. Tous ces mots s’opposent au mot « croire » qui intègre intrinsèquement l’idée de dépendance à une chose ou à une personne. Ces mots sont étroitement liés à la recherche de la vérité (description de la réalité), donc le travail pour construire de la science nécessite une indépendance d’esprit (pas d’idéologie) permettant de bien discerner les choses et une sagesse permettant de rester dans ce chemin vers la vérité et non de trouver le moyen de chercher les congratulations, l’humilité est nécessaire.

    Ce que je viens de décrire est nul part aujourd’hui, c’est même strictement l’inverse. L’école, et notamment après x années, construit des egos, et non des humains capables d’intelligence. On y apprend l’obéissance et la violence (compétition et écrasement de l’autre), et on y apprend la répétition, c’est à dire le mimétisme. A aucun moment on y travaille l’esprit critique, la recherche de la vérité, la voie de la sagesse. Alors certaines personnes sont très fortes pour répéter leur apprentissage, mais elles sont incapables de savoir pourquoi on devrait faire ainsi, elles sont incapables de définir elle-même le problème sans répéter ce qu’on leur dit, sans suivre le protocole. Elles sont aussi incapables d’avoir une vision d’ensemble, car le système a tout segmenté de telles façons que plus rien ne peut être mis en relation afin d’y trouver les incohérences.

    Je vois le mot « scientifique » repris partout sans aucun discernement. Ce mot est d’abord un adjectif, donc il faudrait pouvoir démontrer que les gens sur qui on accole cette étiquette ont véritablement exécuté des travaux scientifiques. C’est donc assez fou de croire qu’on peut faire cela car tout le monde est faillible, on peut avoir très bien réussi une étude et pas une autre. Donc le mot « scientifique » devrait plutôt être accolé aux travaux exécutés lorsque l’analyse de ceux-ci révèle aucune faille, aucun biais. Mais là on est déjà en dehors de la réalité, car ce mot est utilisé pour identifier toute personne qui porte la blouse blanche en sortant de sa « grande école », en d’autres termes de ses années d’endoctrinement. Et cela va plus loin, car on disqualifie le terme de scientifique à tous ceux qui ne suivent pas la doxa en étant validé par leurs pairs. On est dans l’idéologie et la dépendance au conformisme, bref on est dans un domaine sectaire, totalement opposé au principe de la science.

    On voit alors couramment des oppositions entre les « scientifiques reniés, exclus » et les « scientifiques de la doxa ». En réalité ils ne font que répéter ce qu’on leur a appris, à savoir se combattre entre eux pour savoir qui a le pouvoir, qui aurait raison. Ils ont suivi le même endoctrinement, ils ont la plupart du temps travaillés dans le même genre d’endroit, ils ont été dépendant de financement extérieur (qui leur ont dicté les conclusions à l’avance), ils ont appris les mêmes choses.

    Le pire est qu’ils sont enfermés dans leur prison de verre, venant nourrir l’obscurantisme ambiant. Et si jamais l’un d’eux sort de ce cercle vicieux, cassant la dépendance, alors ils se trouvent menacé par tous les autres et souvent plus encore par ceux qui se présentent anti doxa car ils leur prennent leur « aura » de gourou qui nourrit leur ego.

    Avant tout cela, peut être faudrait il revenir aux bases de la génétique. L’ADN a t il été vraiment isolé ? D’où vient cette représentation en double hélice ? Pourquoi l’ADN semble changer au cour de la vie et n’est peut être pas le même selon son lieu et le moment de l’échantillonnage, etc ? Quel est le rôle de l’eau ? Qu’est ce que la Vie ? Etc.

    Je sais que je ne sais rien, mais je constate que la « génétique » n’est pas plus scientifique que le reste et pour cela je n’ai pas besoin d’avoir fait de longues études dans de grandes écoles.

  2. « Le vaccin devrait d’abord être testé sur les politiciens. S’ils survivent, le vaccin est sûr. S’ils échouent, le pays est en sécurité. »
    — Monika Wisniewska

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