Les Pfizer Papers au Parlement européen: une attaque délibérée sur la fertilité

Ce 3 septembre, la journaliste américaine Naomi Wolf a présenté les « Pfizer papers » au Parlement européen. Il s’agit d’un ensemble de rapports sur la sûreté et l’efficacité des vaccins Covid, établis à partir des données en possession du fabricant du vaccin, qui étaient initialement classées comme confidentielles. Les médias indépendants Kairos et France-Soir étaient présents. Image et vidéo de Kairos.
L’exposé de Wolf s’est révélé particulièrement choquant, de par les données communiquées et la nature des conclusions qui s’imposent suivant leur analyse. Pour la journaliste, qui rappelle qu’elle est une militante juive et qu’une partie de sa famille a péri dans les camps de concentration, la campagne de vaccination Covid doit être questionnée sous l’angle d’une volonté délibérée d’éliminer certaines catégories de la population.
Les Pfizer Papers sont:
- des rapports établis à partir de 450 000 pages de documents reprenant toutes les données et études réalisées par le fabricant pour le dossier d’autorisation du vaccin. Ces données devaient rester confidentielles durant 75 ans. Elles ont été rendues publiques grâce à plusieurs procédures judiciaires auxquelles Naomi Wolf a participé et peuvent être consultées en ligne (FOIA)
- 3250 experts du monde entier qui ont travaillé à l’analyse des données
- La démonstration d’un assaut sur la fertilité des femmes et des hommes dans certaines catégories de la population. Les injections Covid affectent les organes reproducteurs, en particulier les ovaires, altèrent le placenta et le lait maternel des femmes vaccinées. Les troubles menstruels de tous types étaient déjà connus.
- Elles impactent aussi la motilité du sperme chez les hommes.
- Les vaccins Covid induisent des naissances prématurées et même un empoisonnement du lait maternel. Le taux de mortalité lié à la naissance a augmenté de 40% aux États-Unis.
- Les risques cardiaques chez les jeunes étaient également clairement identifiés dans les données préliminaires.
Le plus grave sans doute: dès les premières semaines de la vaccination, des rapports alarmants ont été transmis par les autorités de santé israéliennes où les premières campagnes de vaccination ont eu lieu. Ces alertes ont pointé une augmentation importante des décès, des risques de myocardites chez les jeunes et des problèmes de fertilité chez les femmes. Malgré cela, en toute connaissance de cause, les autorités sanitaires américaines et la Maison Blanche ont décidé de recommander les vaccins à ces catégories à risque.
S’il est difficile d’incriminer Pfizer aux États-Unis, en raison de la législation d’urgence qui immunise le fabricant de toute responsabilité (le Prep Act), il faut par contre mener des accusations pénales envers les personnes ayant participé à ces décisions, ainsi qu’à la dissimulation de la vérité.
Enfin, la question d’une intention génocidaire est posée à la lumière d’un élément peu connu du public. Les vaccins Pfizer, qui ont été conçus en Allemagne par la firme BioNtech, ont également été formulés et produits par une entreprise chinoise, comme le montre un accord de principe avec la firme Fosun Pharma annoncé dès les premiers jours de la pandémie, le 20 mars 2020.
📽 Révélations explosives sur Pfizer: une interview exclusive France-Soir avec Naomi Wolf
Livre Pfizer Papers, version française, aux éditions Marco Pietteur:

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