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11 septembre 2001: bien plus que des attentats sous faux drapeau?

Vingt-trois ans après les faits, on distingue cinq niveaux de lecture principaux pour comprendre ces attaques

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Article d’Icaros d’Essentiel News:

Il y a vingt-trois ans aujourd’hui, des pilotes acrobatiques barbus auraient pulvérisé trois gratte-ciel en acier avec deux avions en aluminium à New York, non sans avoir oublié de jeter leurs passeports par le cockpit quelques instants plus tôt.

La théorie du complot promulguée par le pouvoir au sujet des évènements du 11 septembre 2001 est tellement invraisemblable qu’elle pose de nombreuses questions, au-delà du fait de simplement savoir qu’elle est fausse.

Par exemple, pourquoi avoir inventé cette histoire de passeports magiques? Cela semble certain de provoquer l’incrédulité, pour dire le moins. Et pourquoi avoir démoli le troisième immeuble à New York, à 17h le même jour, le fameux “building seven” (bâtiment sept), celui dont la propagande ne prétend même pas qu’il ait été frappé par un avion?

De nouveau, d’affirmer que des incendies de bureau soient responsables de cet effondrement est tellement aberrant que cela semble certain d’alimenter les théories du complot.

Vingt-trois ans après les faits, on reconnaît en effet une opération de guerre psychologique qui va jusqu’à revêtir une dimension ésotérique et eschatologique, et qui va donc bien au-delà d’une attaque sous faux drapeaux dont l’objectif aurait été de déclarer la guerre à sept pays en cinq ans.

Mais avant de brièvement expliciter ces symboles cachés, nous republions ici la version traduite en français de la courte vidéo d’anthologie du journaliste James Corbett, qui illustre le mieux le caractère aberrant de la “version officielle”.

 

Guerre psychologique

Avec le temps, la compréhension de ce qui s’est passé le 11 septembre 2001 aux États-Unis évolue. Désormais, on peut distinguer cinq niveaux successifs de compréhension.

Le premier niveau, désigné niveau zéro, représente la “version officielle” régurgitée par la télévision. Les propagandistes la rendent aberrante à dessein, car ils savent que, paradoxalement, plus elle est invraisemblable plus les gens sont susceptibles d’y adhérer avec véhémence.

En effet, l’humiliation inconsciente que ressentent ceux qui n’osent pas douter est telle que cela provoque chez eux une résignation de l’esprit et une impuissance apprise qui renforcent leurs symptômes de domestication.

Ce principe de guerre psychologique a très bien été résumé par le psychiatre Theodore Dalrymple dans son livre The Wilder Shores of Marx (Hutchinson, 1991):

Je suis arrivé à la conclusion que le but de la propagande dans les pays communistes n’était pas de persuader, encore moins d’informer, mais d’humilier et d’émasculer. En ce sens, moins elle était vraie, moins elle correspondait à la réalité, mieux c’était; plus elle contredisait l’expérience des personnes auxquelles elle s’adressait, plus ces personnes devenaient dociles, plus elles se méprisaient elles-mêmes à cause de leur incapacité à protester, et plus elles devenaient impuissantes.

Ce principe correspond également à la technique de propagande dite du große Lüge (gros mensonge), attribuée à Hitler mais en réalité bien plus ancienne. Il s’agit de provoquer une humiliation profonde et inconsciente qui pousse la victime à s’accrocher encore plus à la fausseté présentée et au régime qui dispense les mensonges.

Ainsi, la plupart des esprits libres et indépendants se distancent rapidement du niveau zéro, pour converger au niveau de compréhension suivant.

Ce niveau 1 constitue la “théorie du complot officielle”. Il correspond à ce que les services de renseignement appellent le “limited hangout” (en français: révélation partielle). Il s’agit également de désinformation, mais cela sert à satisfaire ceux qui ne tombent pas dans le panneau du niveau zéro.

Les derniers niveaux de compréhension quant à eux sont généralement extrêmement controversés, même dans les communautés de chercheurs de vérité (dits “complotistes”).

C’est donc non sans risque que nous publions ici les 5 niveaux de compréhension des attentats du 11 septembre. Avant de le faire, rappelons un principe de sagesse ancestrale exprimé par Aristote:

C’est la marque d’un esprit cultivé que d’être capable d’envisager une idée sans l’accepter.

Cinq niveaux de compréhension

  • Niveau 0: des pilotes acrobatiques, après avoir tout planifié depuis une grotte en Afghanistan, ont jeté leurs passeports par les fenêtres de la cabine juste avant de suspendre les lois de la nature et de pulvériser trois gratte-ciel en acier avec deux avions en aluminium à New York.
  • Niveau 1: L’Arabie saoudite a contribué au financement d’un attentat contre les États-Unis, perpétré par Oussama ben Laden et ses complices. Les néoconservateurs américains et l’État profond ont laissé faire afin de mener une guerre au Moyen-Orient, principalement pour le pétrole.
  • Niveau 2: Avec le soutien financier de l’Arabie saoudite et l’aide opérationnelle d’Israël, l’État profond et les néoconservateurs américains ont perpétré un attentat sous faux drapeaux contre les États-Unis, en utilisant Oussama ben Laden et d’autres terroristes islamiques comme boucs émissaires. Des avions ont percuté le World Trade Center (WTC), qui a été abattu de manière contrôlée à l’aide de nanothermites.
  • Niveau 3: Aucun terroriste islamique n’a été impliqué dans un attentat planifié et exécuté par les services de renseignement israéliens et américains. Aucun avion n’a été utilisé à New York le 11 septembre, et les quelques vidéos (y compris les séquences télévisées en direct) sont des images de synthèse.
  • Niveau 4: Niveau 3, avec la compréhension supplémentaire que les attaques du 11 septembre étaient également un rituel occulte. Plus exactement, une reconstitution ésotérique de la destruction du temple de Salomon.

Au sujet du niveau 3

C’est au niveau trois ou quatre qu’on rentre dans une dimension que l’immense majorité des gens qualifieraient de “folie” ou de “délire complotiste paranoïaque”.

Prenons tout de même le risque de les expliciter; sans certitude, sans vocabulaire péremptoire, et dans une humble tentative de discerner la vérité.

Tout d’abord, des avions en aluminium auraient dû s’écraser sur la façade des immeubles et tomber le long de celles-ci jusqu’au sol, comme un insecte écrasé par une raquette de tennis. Il est impossible d’expliquer les fissures produites par les ailes (et encore moins par la queue verticale), puisque les avions volaient à seulement 600 kilomètres/heure.

Voici à quoi ressemble un avion frappé par des oiseaux.

A titre de référence, les munitions anti-blindage se déplacent au moins à Mach 1 et sont faites de tungstène ou d’uranium appauvri, et la structure externe en acier des immeubles était plus épaisse que le plus épais des blindages de chars d’assaut.

C’est sans même parler du nez de l’avion qui sort de l’autre côté du bâtiment, et qui ne peut que représenter un défaut dans les images de synthèse.

Au sujet de la démolition des tours, elles auraient pu être abattues à l’aide d’armes nucléaires tactiques souterraines, comme l’a suggéré Dimitri Khalezov, ou grâce à une autre sorte d’arme exotique et inconnue du grand public. Réfuter l’idée que des avions aient pu les abattre est beaucoup plus facile que de décrire la méthode effectivement employée pour les démolir; en tout état de cause, c’est encore un mystère.

Au sujet du niveau 4

Le niveau 4 va encore plus loin, puisqu’il assigne une composante rituelle aux attentats.

Pourtant, la conclusion qui s’impose ne semble pouvoir échapper qu’au plus profane des profanes: la démolition spectaculaire des tours reflétait symboliquement la destruction du temple de Salomon.

Tout d’abord, le chiffre 9-11 (ou son équivalent 11-9) est une référence à Tisha B’av, le neuvième jour du onzième mois, date à laquelle les deux temples mythologiques de Salomon ont été détruits.

Deuxièmement, les deux tours représentent les deux colonnes du temple, Jakin et Boaz, celles-là mêmes qui figurent sur les tabliers maçonniques.

Troisièmement, le bâtiment 7, qui a été détruit le dernier, s’appelait le bâtiment des frères Salomon.

Et quatrièmement, le bâtiment unique qui a remplacé les deux piliers, appelé One World Trade Center, représente “The One”, ou le phénix eschatologique qui émerge des cendres.

Évidemment, on ne peut exclure que ces similitudes relèvent de la coïncidence ou de la synchronicité; mais puisque de nombreux groupes, sectes et sociétés secrètes partagent une même obsession superstitieuse pour le temple de Salomon, qu’il a bien fallu que quelqu’un démolisse les immeubles, et qu’il s’est par ailleurs agi d’attentats remarquables par leur niveau de sophistication, il est donc probable que ces symboles n’aient pas été choisis au hasard.

Cette compréhension ne permet pas encore de savoir qui se cache précisément derrière ces attentats, tant les superstitions attenant au temple de Salomon sont répandues. Il suffit toutefois de rappeler ce que symbolise la destruction de ce temple: la renaissance eschatologique. Le temple représente la conscience de base, ou le “dragon” intérieur, l’équerre ou le carré, qui, détruite puis reconstruite, permet l’émergence d’une conscience “supérieure et illuminée”, représentée par le cercle et le compas. Solve et coagula.

En d’autres termes: le monde semble être gouverné par une secte enfoncée dans des superstitions eschatologiques datant de l’âge de bronze, et qui imagine imposer un ordre nouveau, qu’elle appelle un “nouvel âge d’or”.

Ainsi, les attaques du 11 septembre ressemblent à un rituel symbolisant destruction et renaissance, c’est-à-dire qu’elles auraient été imaginées pour marquer le début de la fin de cet âge, et le commencement du dernier chapitre du scénario eschatologique en cours d’exécution dans le monde.

Pour aller plus loin

Si c’est la compréhension ésotérique qui intéresse le plus le lecteur, on ne peut que recommander l’excellente présentation de Mark Passio à ce sujet (activer sous-titres automatiques en français).

Si le lecteur souhaite en revanche s’assurer d’une parfaite compréhension des niveaux précédents, nous incluons ici trois documents historiques. Tout d’abord, un segment de France 3 diffusé pour les 10 ans des attentats. Ensuite, la remarquable conférence de l’historien suisse Daniele Ganser, donnée à Paris à l’occasion de l’anniversaire des 15 ans des attentats. Et finalement, le documentaire “11 septembre: le nouveau Pearl Harbor” en version originale sous-titrée en français et version doublée en français.

 

 

 

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“11 septembre”: la technologie alimente de nouvelles questions

Gains boursiers illégaux avant les attentats du 11 septembre?